Le ciné-club de M. Bobine

Non notée

Année : 2014

Nombre de saisons : 9

Durée moyenne d'un épisode : 69 minutes

Genre(s) :

Le ciné-club de M. Bobine est une émission sur le cinéma, réalisée entièrement en animation. A travers des analyses critiques et passionnées, M. Bobine revient sur la conception, la réception et l'héritage des films qui ont marqué l'histoire du cinéma, mais aussi, à l'occasion d'épisodes spéciaux, sur la carrière de cinéastes majeurs du septième Art.

Saisons

Saison 1

Saison 2

Saison 3

Saison 4

Saison 5

Saison 6

Saison 7

Saison 8

Saison 9

Épisodes

Choisissez votre saison au dessus et découvrez les épisodes qui vous attendent !

Épisode 31 - JURASSIC PARK, de Steven Spielberg - L'analyse de M. Bobine

7 août 2014

Monsieur Bobine a dépensé sans compter pour parler de l’un des films les plus marquants des années 90 : Jurassic Park, de Steven Spielberg. L’analyse trouve toujours son chemin… ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Jurassic Park aurait du être un simple blockbuster de commande, mais c'était sans compter sur le génie de son réalisateur : Steven Spielberg. Monsieur Bobine se plonge dans la genèse d'un film qui aura révolutionné l'imagerie numérique et l'industrie du cinéma, pour le meilleur et pour le pire. Jurassic Park : Réalisé par Steven Spielberg Avec Sam Neill, Laura Dern, Jeff Goldblum, Richard Attenborough Genre : Aventure Le ciné-club de M. Bobine est une émission sur le cinéma, réalisée entièrement en animation. A travers des analyses critiques et passionnées, M. Bobine revient sur la conception, la réception et l'héritage des films qui ont marqué l'histoire du cinéma, mais aussi, à l'occasion d'épisodes spéciaux, sur la carrière de cinéastes majeurs du septième Art. Jurassic Park : la critique / analyse de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche, montage : Cyril Rolland Retrouvez toutes mes vidéos ici : http://bit.ly/1SMbMsW Et si vous aimez le cinéma de Steven Spielberg, ces vidéos pourraient vous intéresser : - LES DENTS DE LA MER : https://www.youtube.com/watch?v=hcocLGAcs4o - A.I. INTELLIGENCE ARTIFICIELLE : https://www.youtube.com/watch?v=XlDdqvI1o4s - INDIANA JONES : https://www.youtube.com/watch?v=UsheYxAysIA © 2012 - Le Ciné-Club de M. Bobine #JurassicPark #spielberg #cinéma

Épisode 2 - Le cinéma de MICHAEL BAY, vu par M. Bobine (Partie 1)

31 juillet 2015

Le monde se divise en deux catégories : ceux qui aiment Michael Bay, et ceux qui le détestent. A votre avis, que pense M. Bobine du réalisateur d’Armageddon, Transformers et The Rock ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine En 2003, M. Bobine a vu Bad Boys II et il s’est juré : “Plus jamais ça ! C’est la dernière fois que je file mon pognon à Michael Bay !”. Pourtant , il a de nouveau cédé à la tentation en 2007 avec Transformers ! Bon, il avait une excuse, y’avait des robots géants… Mais il a replongé en 2009 avec Transformers 2 !! Puis en 2011 avec Transformers 3 !!! Puis en 2014 avec Transformers 4 !!!! A chaque fois, il en est ressorti avec les yeux en sang et le cerveau en compote. Et à chaque nouveau film, il était quand même de retour dans la salle, aussi impatient qu’un gamin le soir de Noël ! Est-il fou ? Est-il faible ? Est-il masochiste ? Ou bien y a t-il autre chose derrière le découpage à la ramasse et le montage épileptique de Michael Bay ? Le ciné-club de M. Bobine est une émission sur le cinéma, réalisée entièrement en animation. A travers des analyses critiques et passionnées, M. Bobine revient sur la conception, la réception et l'héritage des films qui ont marqué l'histoire du cinéma, mais aussi, à l'occasion d'épisodes spéciaux, sur la carrière de cinéastes majeurs du septième Art. Michael Bay : la critique / analyse de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, montage : Cyril Rolland Retrouvez toutes mes vidéos ici : http://bit.ly/1SMbMsW © 2016 - Le Ciné-Club de M. Bobine #MichaelBay #Armageddon #cinéma

Épisode 4 - GRAVITY, d'Alfonso Cuaron - L'analyse par M. Bobine

11 septembre 2015

Alors comme ça Gravity n'a pas de scénario et n'est qu'une prouesse visuelle et technique ? M. Bobine n'est pas d'accord et le prouve avec cette analyse ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Alors qu'un bonne partie de la critique et du public a salué les qualités visuelles de Gravity du mexicain Alfonso Cuarón, il n'en fut malheureusement pas le cas pour son scénario. Nombreux ont été les spécialistes de la presse et de Youtube à juger que Gravity avait une histoire "vide", "inepte", voire "ridicule". Monsieur Bobine n'est pas d'accord et propose donc aujourd'hui une analyse dont il a le secret, à travers un petit voyage dans la symbolique de Gravity, où il est notamment question d'Alchimie et d'Humanisme... Gravity (2013) Réalisateur : Alfonso Cuarón Photographie : Emmanuel Lubezki Scénario : Alfonso Cuarón, George Clooney, Jonas Cuaron Avec : Sandra Bullock, George Clooney Le ciné-club de M. Bobine est une émission sur le cinéma, réalisée entièrement en animation. A travers des analyses critiques et passionnées, M. Bobine revient sur la conception, la réception et l'héritage des films qui ont marqué l'histoire du cinéma, mais aussi, à l'occasion d'épisodes spéciaux, sur la carrière de cinéastes majeurs du septième Art. Gravity : la critique / analyse de Monsieur Bobine Voix, animation : Julien Pavageau Écriture : Aurélien Noyer Montage : Sébastien Le Gallo Retrouvez toutes mes vidéos ici : http://bit.ly/1SMbMsW © 2015 - Le Ciné-Club de M. Bobine #Gravity #AlfonsoCuaron #Cinéma

Épisode 6 - JFK, d'Oliver Stone - L'analyse de M. Bobine (Partie 1)

20 novembre 2015

Meurtres, complots, mafia et politique... rien ne fait peur à M. Bobine. Et surtout pas de se lancer dans une analyse approfondie de l’un des meilleurs films d’Olivier Stone : le monumental JFK. ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Le 22 novembre 1963, John F. Kennedy tombait sous les balles de Lee Harvey Oswald. Mais ce dernier était-il bien l'assassin ? C'est la question que s'est posée Oliver Stone dans son monumental film JFK. A quelques jours du 52e anniversaire de la mort de Kennedy, découvrez la première partie de ce nouveau double épisode du Ciné-Club de Monsieur Bobine, qui évoque la conception de ce film très particulier, ainsi que son accueil public et critique. Et pour en savoir plus sur les intentions véritables d'Oliver Stone lorsqu'il a tourné JFK, rendez-vous très prochainement... JFK : Réalisé par : Oliver Stone Avec Kevin Costner, Gary Oldman, Tommy Lee Jones Genre : thriller politique Adapté de 'On the trail of the assassins' de Jim Garrison Le ciné-club de M. Bobine est une émission sur le cinéma, réalisée entièrement en animation. A travers des analyses critiques et passionnées, M. Bobine revient sur la conception, la réception et l'héritage des films qui ont marqué l'histoire du cinéma, mais aussi, à l'occasion d'épisodes spéciaux, sur la carrière de cinéastes majeurs du septième Art. JFK : la critique / analyse de Monsieur Bobine texte, réalisation , montage : Cyril Rolland Voix, animation, montage : Julien Pavageau Retrouvez toutes mes vidéos ici : http://bit.ly/1SMbMsW © 2015 - Le Ciné-Club de M. Bobine #JFK #OlivierStone #cinéma

Épisode 7 - JFK, d'Oliver Stone - L'analyse de M. Bobine (Partie 2)

10 décembre 2015

M. Bobine ne sait pas qui a tué Kennedy… Mais qu'en est-il d'Oliver Stone ? Quelques éléments de réponse dans la suite et fin de notre épisode consacré à JFK ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Le 22 novembre 1963, John F. Kennedy tombait sous les balles de Lee Harvey Oswald. Mais ce dernier était-il bien l'assassin ? C'est la question que s'est posée Oliver Stone dans son monumental film JFK. Après une première partie qui évoquait la conception de ce film très particulier (ainsi que son accueil public et critique), Monsieur Bobine plonge dans cette seconde partie dans la cervelle d'Oliver Stone. Il transforme ainsi son fauteuil en divan et vous offre un voyage dans la psyché de ce célèbre réalisateur pour tenter de répondre à une simple question : quelles étaient ses motivations profondes lorsqu'il a tourné JFK ? JFK : Réalisé par : Oliver Stone Avec Kevin Costner, Gary Oldman, Tommy Lee Jones Genre : thriller politique Adapté de 'On the trail of the assassins' de Jim Garrison Le ciné-club de M. Bobine est une émission sur le cinéma, réalisée entièrement en animation. A travers des analyses critiques et passionnées, M. Bobine revient sur la conception, la réception et l'héritage des films qui ont marqué l'histoire du cinéma, mais aussi, à l'occasion d'épisodes spéciaux, sur la carrière de cinéastes majeurs du septième Art. JFK : la critique / analyse de Monsieur Bobine texte, réalisation , montage : Cyril Rolland Voix, animation, montage : Julien Pavageau Retrouvez toutes mes vidéos ici : http://bit.ly/1SMbMsW © 2015 - Le Ciné-Club de M. Bobine #JFK #OlivierStone #cinéma

Épisode 8 - Star Wars, épisode VII : Le Réveil de la Force - La critique de M. Bobine

15 janvier 2016

Et si Le Réveil de la Force était en fait le parfait "anti Star Wars" ? M. Bobine vous explique pourquoi dans sa critique du film de J.J. Abrams ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Pour la première fois en 8 années d'existence, M. Bobine a ressenti le besoin de parler d'un film qu'il n'a que très peu apprécié : Star Wars, épisode VII : Le Réveil de la Force. Car malgré tous les efforts de Disney et de J.J. Abrams pour offrir aux fans de la saga un épisode fidèle à la trilogie originale, il semblerait qu'ils aient oublié en cours de route ce qui a véritablement fait la force (sans jeu de mot... quoique !) des œuvres de George Lucas. Malheureusement pour George Lucas, sa prélogie semble faire l’unanimité contre elle (et particulièrement à cause de Star Wars, épisode I : La Menace fantôme). On peut donc aisément comprendre la stratégie de Disney qui préfère revenir à un univers plus proche de la trilogie originale de La Guerre des étoiles, au point d’être un quasi remake d'Un nouvel espoir... Mais malgré les apparences, est-il possible que J.J. Abrams et son Réveil de la Force soit encore moins fidèle à l'esprit de la saga de George Lucas que la prélogie tant décriée ? Star Wars 7 : Le Réveil de la Force Réalisé par J.J. Abrams Avec : Daisy Ridley, John Boyega, Oscar Isaac, Adam Driver, Harrison Ford Genre : space opéra Adapté de l'univers de Star Wars créé par George Lucas Star Wars, épisode VII : Le Réveil de la Force : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Cyril Rolland, Julien Pavageau, Lucas Mario Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! © 2015 - Le Ciné-Club de M. Bobine #cinéma #StarWars #LeRéveilDeLaForce

Épisode 2 - La TRILOGIE CORNETTO, d'Edgar Wright - L'analyse de M. Bobine

29 avril 2016

M. Bobine sort sa batte de cricket, ses flingues et ses tabourets de bar pour parler de trois films réalisés par le génial Edgar Wright : Shaun of the Dead, Hot Fuzz et Le Dernier pub avant la fin du monde. ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine M. Bobine nous livre une petite analyse de Shaun of the Dead, Hot Fuzz et Le Dernier pub avant la fin du monde (The World's End), trois films d’Edgar Wright qui forment une trilogie offrant un point de vue très anglais sur des genres très américains. Shaun of the dead : Réalisé par Edgar Wright Avec Simon Pegg, Nick Frost, Kate Ashfield, Lucy Davis, Dylan Moran. Genre : film de zombies Hot Fuzz : Réalisé par Edgar Wright Avec Simon Pegg, Nick Frost, Timothy Dalton, Jim Broadbent. Genre : Buddy cop movie. The World's End : Réalisé par Edgar Wright Avec Simon Pegg, Nick Frost, Rosamund Pike, Pierce Brosnan, Paddy Considine. Genre : film de Body snatchers. Le ciné-club de M. Bobine est une émission sur le cinéma, réalisée entièrement en animation. A travers des analyses critiques et passionnées, M. Bobine revient sur la conception, la réception et l'héritage des films qui ont marqué l'histoire du cinéma, mais aussi, à l'occasion d'épisodes spéciaux, sur la carrière de cinéastes majeurs du septième Art. La trilogie Cornetto : la critique / analyse de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer Retrouvez toutes mes vidéos ici : http://bit.ly/1SMbMsW © 2016 - Le Ciné-Club de M. Bobine #ShaunOfTheDead #EdgarWright #cinéma

Épisode 4 - Le cinéma de DON SIMPSON et JERRY BRUCKHEIMER, par M. Bobine (Partie 1)

1 juillet 2016

Sexe, drogue et synthés moches, M. Bobine vous fait voyager au cœur des années 80 avec ce duo de producteurs qui a changé la face d'Hollywood. ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Pour cet épisode, nous nous somme farci Top Gun, Flashdance, les deux premiers volets du Flic de Beverly Hills et Jour de Tonnerre. On a écouté du Faltermeyer, du Hans Zimmer, Danger Zone de Kenny Loggins, Maniac, de Michael Sembello, What a Feeling et Take my Breath Away jusqu'à en avoir des nausées. Bref, toutes ces œuvres qui nous évoquent avant tout les rutilantes années 80 et dont les maîtres d’œuvre sont Don Simpson et Jerry Bruckheimer. Dans cette première partie, nous allons nous intéresser à l’ascension du duo et la manière dont ils se sont octroyé plus de pouvoir que n'importe quel réalisateur star des années 80. Pour la chute, il faudra attendre la seconde partie ! Le ciné-club de M. Bobine est une émission sur le cinéma, réalisée entièrement en animation. A travers des analyses critiques et passionnées, M. Bobine revient sur la conception, la réception et l'héritage des films qui ont marqué l'histoire du cinéma, mais aussi, à l'occasion d'épisodes spéciaux, sur la carrière de cinéastes majeurs du septième Art. Don Simpson et Jerry Bruckheimer : la chronique de Monsieur Bobine Voix, animation, montage : Julien Pavageau Écriture : Cyril Rolland Retrouvez toutes mes vidéos ici : http://bit.ly/1SMbMsW © 2016 - Le Ciné-Club de M. Bobine #DonSimpson #JerryBruckheimer #cinéma

Épisode 9 - THE IMPOSSIBLE de Juan Antonio Bayona : l'analyse de M. Bobine

6 janvier 2017

A l'occasion de la sortie au cinéma de Quelques minutes après minuit (A Monster Calls), M. Bobine revient sur le précédent chef d’œuvre de Juan Antonio Bayona : The Impossible. ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine A sa sortie au cinéma, The Impossible fut férocement descendu par une partie de la critique qui n'avait strictement rien compris aux intentions de Bayona. Son nouveau film, Quelques minutes après minuit (ou A Monster Calls en VO) est actuellement dans les salles de cinéma mais il semble malheureusement bien parti pour subir le même traitement. C'est l'occasion pour M. Bobine de remettre quelques pendules à l'heure ! The Impossible : Réalisé par Juan Antonio Bayona Avec Ewan McGregor, Naomi Watts, Geraldine Chaplin, Samuel Joslin, Tom Holland Genre : drame Le ciné-club de M. Bobine est une émission sur le cinéma, réalisée entièrement en animation. A travers des analyses critiques et passionnées, M. Bobine revient sur la conception, la réception et l'héritage des films qui ont marqué l'histoire du cinéma, mais aussi, à l'occasion d'épisodes spéciaux, sur la carrière de cinéastes majeurs du septième Art. The Impossible : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer et Daniel Sebaihia Retrouvez toutes mes vidéos ici : http://bit.ly/1NCeAtp © 2017 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #JuanAntonioBayona #TheImpossible #cinéma

Épisode 4 - Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban d'Alfonso Cuarón : l'analyse de M. bobine

26 mai 2017

En adaptant Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban au cinéma, Alfonso Cuarón a-t-il vraiment trahi l’œuvre de J.K Rowling ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Le passage éclair d'Alfonso Cuarón sur la méga-franchise Harry Potter n'a pas été particulièrement discret. Si le cinéaste a par la suite été en mesure de concrétiser des projets personnels tels que Les Fils de l'Homme ou Gravity, son volet des aventures du jeune sorcier au cinéma à pourtant divisé le public. En effet, Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban est souvent considéré par les cinéphiles comme le meilleur film de la série mais pour les Potterheads acharnés, c'est une toute autre histoire. Vécu par certains comme une trahison complète de l’œuvre de J.K. Rowling, ce troisième volet est pourtant, à notre sens, l'épisode le plus fidèle à l'esprit des romans de Rowling. C'est donc en jurant solennellement que nos intentions sont mauvaises que nous vous présentons le nouvel épisode du Ciné-club de M. Bobine ! Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Cyril Rolland Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban : Réalisé par Alfonso Cuarón Avec Emma Watson, Daniel Radcliffe, Rupert Grint, Genre : fantastique Adapté de Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban de J.K. Rowling © 2017 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #HarryPotter #Azkaban #cinéma

Épisode 5 - SHIN GODZILLA de Hideaki Anno et Shinji Higuchi : l'analyse de M. Bobine

14 juillet 2017

Godzilla est-il toujours le roi des monstres ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Aujourd'hui nous allons parler de la plus terrifiante apparition de Godzilla au cinéma, non pas dans le remake de 2014 par Gareth Edwards, ni même dans le Godzilla de Roland Emmerich, mais dans Shin Godzilla (ou Godzilla Resurgence) d'Hideaki Anno et Shinji Higuchi sorti en 2016. Confronté à la lourde tâche de revigorer la plus longue franchise du cinéma toutes nationalités confondues, l'auteur d'Evangelion va opter pour une approche radicale : tout raser pour tout reconstruire ! Comme le film n'est malheureusement pas sorti dans nos salles de cinéma ni même en bluray dans notre beau pays, je suis donc parti du principe que vous n’avez pas vu Shin Godzilla. Cette chronique est donc relativement exempte de spoilers (ou en tout cas, rien qui ne gâche la vision du film). Et comme il n’existait pas de sous-titres français disponibles (à ma connaissance), j’en ai édité moi même et vous pouvez les récupérer à cette adresse : http://www.cinephylis.fr/Shin_Godzilla_FR_team_Bobine.srt D’ailleurs, il y a pas mal de points sur lesquels ces sous-titres sont perfectibles (notamment sur le nom des postes occupés par les protagonistes) donc vos remarques et vos corrections sont les bienvenues. Shin Godzilla : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Écriture, réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Shin Godzilla : Réalisé par Hideaki Anno et Shinji Higuchi Avec : Hiroki Hasegawa, Satomi Ishihara, Yutaka Takenouchi Genre : Kaiju Eiga © 2017 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #ShinGodzilla #Godzilla #cinéma

Épisode 7 - M. Bobine et le son dans l'espace

13 octobre 2017

Dans l'espace, personne ne vous entendra crier... Sauf au cinéma... ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine La nouvelle série Star Trek : Discovery ne se contente pas de fouler du talon tous les principes de la Fédération (ainsi que ceux de la dramaturgie), elle enfreint également une des règles de l'univers : il ne peut pas y avoir de son dans l'espace. C'est d'ailleurs le cas de toutes les œuvres de l'univers "Star Trek", mais aussi celles de Star Wars, ainsi qu'un bon paquet de fictions se déroulant dans l'espace tant à la télévision qu'au cinéma. Si certaines œuvres respectent scrupuleusement l'absence de son dans l'espace comme 2001 l'Odyssée de l'espace, Gravity, Interstellar ou encore la série Firefly, au cinéma, le son semble toujours la meilleure manière de combler le vide glacé de l'espace. Alors que la science-fiction évolue vers toujours plus de réalisme, pourquoi l'espace est-il toujours aussi bruyant ? Pourquoi les spectateur sont-ils plus à l'aise avec des batailles spatiales tonitruantes plutôt que silencieuses ? Et finalement, les conventions liées au son dans l'espace n'ont elles pas elles aussi évoluées ? Le son dans l'espace : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Écriture, réalisation, voix, montage : Julien Pavageau © 2017 - Le Ciné-Club de M. Bobine extraits : Star Trek : Discovery - Saison 1 épisode 2 Star Trek The Original Serie - Saison 2 épisode 24 The Orville - saison 1 épisode 4 Gravity - Alfonso Cuaron Le Chanteur de Jazz - Alan Crosland Alien - Ridley Scott Star Trek - J.J. Abrams Interstellar - Christopher Nolan Battlestar Galactica - Saison 1 épisode 1 Contact - Robert Zemeckis Firefly - Joss Whedon Serenity - Joss Whedon Sunshine - Danny Boyle 2001 l'Odyssée de l'espace - Stanley Kubrick Star Trek the Motion Picture - Robert Wise Star Trek the Next Generation - Saison 3 épisode 26 Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #StarTrek #StarWars #cinéma

Épisode 10 - Les Aventures de Jack Burton dans les Griffes du Mandarin : l'analyse de M. Bobine

1 décembre 2017

Comment John Carpenter a-t-il pioché chez Howard Hawks, Tsui Hark ou Buster Keaton pour livrer un de ses films les plus fous ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine A l’heure où le moindre long métrage est vendu avant même sa sortie comme un film culte, ou n'importe quel cinéaste un peu hype est considéré comme le nouveau Kubrick, M. Bobine s'intéresse à un film vraiment visionnaire : Les aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin du grand John Carpenter. Bien qu'il fût un échec au cinéma à sa sortie, Les aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin est devenu avec le temps un film culte pour toute une génération de cinéastes. Par exemple l’approche syncrétique et multiculturelle de Carpenter se retrouve désormais dans le cinéma de Quentin Tarantino avec Kill Bill, de Guillermo Del Toro avec Pacific Rim, d'Edgar Wright avec Scott Pilgrim ou encore dans le cinéma des sœurs Wachowski avec Speed Racer. Ce ciné-club est donc l’occasion pour nous d’aborder la singularité des Aventures de Jack Burton dans les Griffes du Mandarin.. Les Aventures de Jack Burton dans les Griffes du Mandarin : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Yoan Orszulik Les Aventures de Jack Burton dans les Griffes du Mandarin : Réalisé par John Carpenter Avec Kurt Russell, Kim Cattrall, Dennis Dun, James Hong, Victor Wong Genre : aventure, fantastique © 2017 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #JohnCarpenter #JackBurton #cinéma

Épisode 2 - WATCHMEN de Zack Snyder : l'analyse de M.Bobine

9 février 2018

Est-ce que le Watchmen de Zack Snyder est une bonne adaptation du comics d'Alan Moore ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Adapter une œuvre d'Alan Moore au cinéma est toujours un exercice délicat. En effet, si From Hell, la Ligue des Gentlemen Extraordinaire ou V pour Vendetta ont eu les faveurs d'une adaptation sur grand écran, on ne peut pas vraiment parler de franches réussites... Considéré comme inadaptable au cinéma par son auteur, Watchmen a pourtant traîné dans les cartons d'Hollywood pendant un bon moment. Terry Gilliam souhaitait changer la fin par un paradoxe temporel, Paul Greengrass voulait adapter Watchmen à l'époque contemporaine (avec la bénédiction d'Alan Moore). Zack Snyder, quant à lui, voulait rester le plus fidèle possible au comics, allant même jusqu'à dire qu’il avait fait le film pour « protéger Watchmen de tous les Terry Gilliam de la terre ». Et pourtant, même si Snyder et ses scénaristes ont tenté d'adapter le plus fidèlement possible l’œuvre d'Alan Moore et Dave Gibbons pour le cinéma – parfois à la case près – ils ont modifié l'un des éléments les plus importants du comics... ce qui n'est pas sans poser quelques problèmes. La question au cœur de notre nouvel épisode est donc : par Glycon, c'était quoi, le problème avec le poulpe ? Watchmen de Zack Snyder : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer Watchmen : Réalisé par Zack Snyder Avec : Malin Åkerman, Jackie Earle Haley, Patrick Wilson, Jeffrey Dean Morgan, Billy Crudup Genre : science fiction Adapté de Watchmen d'Alan Moore et Dave Gibbons © 2018 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #Watchmen #ZackSnyder #cinéma

Épisode 6 - Les lives de M. Bobine - Ready Player One de Steven Spielberg

6 avril 2018

Qui aurait pu imaginer qu'une discussion sur le Ready Player One de Steven Spielberg avoisinerait les 3 heures bien tassées ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Près de deux semaines après que nous ayons découvert Ready Player One au cinéma, certains d'entre nous ne savent toujours pas quoi penser du dernier film de Steven Spielberg. En effet, que nous ayons aimé ou non l'adaptation du roman d'Ernest Cline, il semblerait qu'aucun d'entre nous n'ait réussi à se sortir de la tête, ce qui est généralement signe que le film est un poil plus complexe qu'il n'y paraît. Il semblerait que Ready Player One soit un film un peu schizophrène... D'un côté, c'est un film d'un Steven Spielberg qui met à l’amende le tout venant de la production Hollywoodienne tout en lui adressant un doigt d’honneur, le tout en poussant la Performance Capture chère à son ami Robert Zemeckis un cran plus loin que James Cameron sur Avatar. Mais Ready Player One cache un second film écrit par Zak Penn dont le CV suffit à faire frémir n’importe quel cinéphile, et adapté du livre d’Ernest Cline qui semble faire l’unanimité contre lui. Et ce film est loin d’être à la hauteur du talent du Maître. Et oui, Steven Spielberg a beau être un alchimiste du cinéma, il semblerait que les lois qui régissent notre univers ne permettent pas la transmutation du caca en or. C’est donc pour tenter d’y voir un peu plus clair que nous avons organisé un live sur la page Discord du Ciné-club de M. Bobine avec autour des micros Lucas Mario, Julien Pavageau, Cyril Rolland, Matthieu Galley, Daniel Sebaihia et Yoan Orszulik. Ready Player One de Steven Spielberg : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Ready Player One : Réalisé par Steven Spielberg Avec Tye Sheridan, Olivia Cooke, Ben Mendelsohn, Simon Pegg, Mark Rylance Genre : Science Fiction adapté de Ready Player One d'Ernest Cline © 2018 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #Spielberg #ReadyPlayerOne #cinéma

Épisode 8 - Le cinéma de Sam Raimi - l'analyse de M. Bobine

4 mai 2018

Sam Raimi est-il le seul à penser qu'il n'est pas un génie ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Avec bientôt 40 ans de carrière et 14 longs métrages à son actif dont les trois volets de la saga culte Evil Dead et l'insurpassable trilogie Spider-man (à ne pas confondre avec les abominables Amazing Spider-Man ou le sympatoche Spider-Man: Homecoming), il était temps pour nous de revenir sur la filmographie de Sam Raimi ! Et oui, ce touche à tout particulièrement inventif a navigué du film d’horreur bricolé au conte pour enfants avec le Monde fantastique d'Oz, en passant par le polar avec un Plan Simple ou le blockbuster de super héros avec les Spider-man, en influençant nombres de ses confrères au passage. Puisant son inspiration dans le cinéma des origines, de Murnau à Dziga Vertov en passant par Charlie Chaplin, Buster Keaton et même les 3 Stooges, Sam Raimi a su garder une approche personnelle de ses films, quelque soit le genre ou le budget. Et pourtant, il s'est toujours senti comme un imposteur auprès de ses semblables et comme le dit son vieil ami Joël Coen, tout le monde sait que Sam Raimi est un génie sauf lui. #SamRaimi #Spiderman #cinéma Le cinéma de Sam Raimi : la critique / L'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Yoan Orszulik La filmographie de Sam Raimi : - Evil Dead (The Evil Dead) - Mort sur le grill (Crimewave) - Evil Dead 2 (Evil Dead II: Dead by Dawn) - Darkman - Evil Dead 3 : L'Armée des ténèbres (Army of Darkness) - Mort ou vif (The Quick and the Dead) - Un plan simple (A Simple Plan) - Pour l'amour du jeu (For Love of the Game) - Intuitions (The Gift) - Spider-Man - Spider-Man 2 - Spider-Man 3 - Jusqu'en enfer (Drag Me To Hell) - Le Monde fantastique d'Oz (Oz: The Great and Powerful) © 2018 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine !

Épisode 9 - La trilogie du Hobbit de Peter Jackson : l'analyse de M. Bobine

25 mai 2018

C'est quoi le problème avec la trilogie du Hobbit de Peter Jackson ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Nous vous l'avions annoncé dans un précédent épisode et nous y voilà enfin ! Aujourd’hui, on s’envole pour la Terre du Milieu ! Mais si vous êtes des inconditionnels du Seigneur des Anneaux de Tolkien et même de celui de sir Peter Jackson, alors il y a des chances que vous soyez déçu car dans cet épisode, il va plus être question de la trilogie Le Hobbit que de la Communauté de l'Anneau, des Deux tours et du Retour du Roi... Et ça tombe bien puisque c’est précisément cette différence de réception au cinéma entre les deux séries de films qui va nous intéresser ici. Le Hobbit est-il l’antithèse du Seigneur des Anneaux ou tout simplement une pâle copie ? Peter Jackson a-t-il été trop ambitieux ou pas assez ? Est-ce que le Hobbit est au Seigneur des Anneaux ce que la prélogie est à Star Wars ? Peter Jackson suit-il la voie de George Lucas ? Et est-ce que le film aurait été meilleur s'il avait été réalisé par Guillermo Del Toro ? Pour tenter de répondre à ces nombreuses questions, il ne fallait rien de moins que le plus gros épisode de M. Bobine jamais réalisé puisque à l'image des six films de Peter Jackson, on a fait péter les compteurs en dépassant la demi-heure... #Hobbit #PeterJackson #cinéma La trilogie Le Hobbit : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Cyril Rolland Le Hobbit : Un voyage inattendu, Le Hobbit: La désolation de Smaug, Le Hobbit 3 : la Bataille des Cinq Armées : Réalisé par Peter Jackson Avec Martin Freeman, Benedict Cumberbatch, Richard Armitage, Ian McKellen, Evangeline Lilly, Cate Blanchett Genre : Heroic fantasy Adapté de Bilbo le Hobbit de J.R.R Tolkien © 2018 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine !

Épisode 10 - This is Spinal Tap de Rob Reiner : l'analyse de M. Bobine

21 juin 2018

Comment This is Spinal Tap est-il devenu LA référence absolue de tout film sur le métal ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine De nos jours, This Is Spinal Tap est devenu une référence comique incontournable, et pas seulement au cinéma, avec son ampli qui va jusqu'à onze, son mégalithe de Stonehenge qui risquent de se faire écraser par des nains, ses batteurs qui explosent et ses répliques cultes. Le rock et le metal sont des genres nettement moins ostracisés qu'à l'époque et des festivals comme le Hellfest à Clisson ont permis d'initier le grand public aux musiques extrêmes. Mais dans les années 80, l'ambiance était bien différente... This is Spinal Tap sort au moment même où le metal est la cible d'une "panique morale" qui s'empare des médias américains. Du coup, on oublie facilement que ce film était à l'origine un projet extrêmement casse-gueule porté par Rob Reiner, Michael McKean, Christopher Guest et Harry Shearer. C'est pourquoi avant de rejoindre ses congénères métalleux pour son pèlerinage annuel au Hellfest, M. Bobine va se pencher sur la production du plus célèbre faux documentaire de tous les temps et essayer de comprendre comment This is Spinal Tap est devenu une telle référence au cinéma... y compris auprès des métalleux qu'il est pourtant censé parodier. This is Spinal Tap : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer This is Spinal Tap : Réalisé par Rob Reiner Avec Christopher Guest, Michael McKean, Harry Shearer, Rob Reiner Genre : mockumentaire © 2018 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #SpinalTap #Hellfest #Cinéma

Épisode 13 - House de Nobuhiko Obayashi : l'analyse de M. Bobine

27 juillet 2018

Aujourd'hui, on va parler d'un des films les plus fous de tous les temps : House d'Obayashi ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Si vous avez eu l'occasion de voir House (ou Hausu), peut-être pensiez-vous qu'il s'agissait d'un film conçu sans le sous par une bande de hippie sous LSD... Si vous n'aviez jamais entendu parler de House avant aujourd'hui, alors peut-être aurez-vous du mal à croire qu'il s'agit d'un véritable blockbuster doublé d’un gros succès public lors de sa sortie en 1977. Et pourtant, House de Nobuhiko Obayashi est une sorte d'équivalent au phénomène que fut le tout premier Star Wars (et oui, on parle encore et toujours de Star Wars...), une véritable œuvre culte qui a marqué au fer rouge toute une génération de spectateurs et de réalisateur japonais mais aussi quelques uns aux États Unis... Même s'il est difficile de savoir si Sam Raimi a vu ou non le film d'Obayashi, force est de constater qu'il y a de nombreux ponts entre House et les films de Raimi, notamment dans son Evil Dead 2. D'ailleurs, on vous invite également à aller jeter un œil à notre épisode consacré au cinéma de Sam Raimi ! House / Hausu : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Gouriou-Vales et Yoan Orszulik House / Hausu : Réalisé par Nobuhiko Obayashi Avec Kimiko Ikegami, Kumiko Ohba, Yōko Minamida Genre : horreur, comédie © 2018 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #Hausu #Obayashi #cinéma

Épisode 18 - LOGAN de James Mangold, l'analyse de M. Bobine

12 octobre 2018

Si Logan est le crépuscule de Wolverine, c'est aussi la revanche de James Mangold sur les super-héros ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine L'an dernier, Logan de James Mangold fut une excellente surprise dans l’univers désormais sclérosé des films de super héros de chez Disney Marvel et DC Comics.. Une surprise d’autant plus étonnante qu’elle intervient dans une franchise de spin offs qui avait sacrément mis à mal l’image de son personnage au cinéma et dont le précédent opus (Wolverine : Le Combat de l'immortel, également de James Mangold), n’annonçait pas vraiment le revirement qualitatif. Même dans les meilleurs volet de la franchise X-Men, le personnage de Wolverine n'a jamais vraiment eu l'occasion de briller... Nous allons donc voir comment cette anomalie a pu voir le jour au sein du système Hollywoodien actuel, et surtout essayer de comprendre comment le cinéaste de Cop land et d'Une vie volée a pu prendre sa revanche sur sa précédente incursion dans l’univers du X-Men griffu, aka Wolverine. En revanche une fois n’est pas coutume on vous conseille vivement de visionner cette vidéo après avoir vu le film car ça spoiler… et pas qu’un peu. Logan de James Mangold : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Yoan Orszulik Logan : Réalisé par James Mangold Avec Hugh Jackman, Patrick Stewart, Dafne Keen Genre : Super-héros Adapté des comics Marvel X-men, Wolverine et de Old Man Logan de Mark Millar © 2018 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #logan #cinéma #Wolverine

Épisode 19 - THE SOCIAL NETWORK de David Fincher, L'analyse de M. Bobine

26 octobre 2018

Et si The Social Network racontait un peu la même chose que Fight Club de David Fincher ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Avec David Fincher à la réalisation, Aaron Sorkin au scénario, Jeff Cronenweth à la lumière, Atticus Ross et Trent Reznor à la musique, The Social Network est le genre de film qui pourrait être analysé et commenté pendant des heures, tant chaque aspect, depuis la profondeur de champ jusqu'à la musique en passant par les décors ou les éclairages, est porteur de sens. Mais plutôt que de se perdre dans une interminable vidéo fourre-tout sur le cinéma de David Fincher, on va plutôt se concentrer sur une séquence précise, un morceau de bravoure cinématographique qui révèle comment Aaron Sorkin et David Fincher ont réussi à dépasser le sujet du film, à savoir la création de Facebook, pour livrer une réflexion acerbe sur les conséquences de la révolution numérique, et au passage, on va voir quels sont les liens entre The Social Network et un autre célèbre film de David Fincher : Fight Club ! The Social Network de David Fincher : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer The Social Network : Réalisé par David Fincher Avec Jesse Eisenberg, Andrew Garfield, Justin Timberlake Genre : biopic Adapté de The Accidental Billionaires: The Founding of Facebook, A Tale of Sex, Money, Genius, and Betrayal de Ben Mezrich © 2018 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #DavidFincher #TheSocialNetwork #Cinéma

Épisode 20 - BARTON FINK et AVE, CESAR ! des frères Coen par M. Bobine

9 novembre 2018

Entre Barton Fink et Ave, César ! les frères Coen ont-ils vraiment changé d'avis sur Hollywood ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Quand on se penche sur le cinéma des frères Coen, la première chose qui saute aux yeux c'est leur capacité à s'intéresser à tous les genres et à tous les sujets. Tout au long de leur carrière au cinéma, ils n'ont eu de cesse de revisiter les mythes et les archétypes du cinéma américains, qu'il s'agisse de la figure du white trash avec Arizona Junior, de celle du gangster avec Fargo ou Miller's Crossing, du self-made man avec The Big Lebowski ou Le Grand Saut, du cow-boy avec True Grit, ou encore du chanteur folk avec Inside Llewyn Davis. Hors, il y a un sujet que le cinéma Hollywoodien aime tout particulièrement traiter, vous l'avez peut-être deviné, ce sujet c'est Hollywood... il était tout à fait logique que les frères Coen s'emparent à leur tour du sujet. Et comme les frères Coen ne font pas les choses à moitié, ils y ont consacré les deux films radicalement différents qui vont nous intéresser aujourd'hui, Barton Fink et Ave, César ! Ave, César ! et Barton Fink des frères Coen : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer Barton Fink : Réalisé par les frères Coen Avec John Turturro, John Goodman, Judy Davis, Tony Shalhoub Genre : Comédie dramatique, thriller Ave, César ! : Réalisé par les frères Coen Avec Josh Brolin, George Clooney, Alden Ehrenreich, Ralph Fiennes Genre : comédie © 2018 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #FrèresCoen #BartonFink

Épisode 21 - Les Aventures de Buckaroo Banzaï à travers la 8e dimension par M. Bobine

23 novembre 2018

Mais pourquoi donc y-a-t-il une pastèque dans Buckaroo Banzaï ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Quel est le point commun entre Retour vers le Futur de Robert Zemeckis, Ready Player One de Steven Spielberg, Fight Club de David Fincher, Mad Max au-Delà du Dôme du Tonnerre de George Miller, Star Trek The Next Generation et Deep Space Nine, La Vie Aquatique de Wes anderson, Thomas Pynchon, Men in Black de Barry Sonnenfeld, la série Scoobi-Doo ou encore La Ligue des gentlemen extraordinaires d'Alan Moore ? Et bien toutes ces œuvres et ces auteurs font référence de près ou de loin aux Aventures de Buckaroo Banzaï à travers la 8e dimension ! Si la pop-culture est autant parsemée d'emprunts et de références à Buckaroo Banzaï, c'est probablement parce qu'il est surtout connu pour être un des films les plus barré de tous les temps. Mais peut-être aussi que des auteurs comme Steven Spielberg, Robert Zemeckis, George Miller, David Fincher, Wes Anderson, Thomas Pynchon ou encore Alan Moore ont vu dans film de W.D. Richter et Earl Mac Rauch quelque chose d'un peu plus profond qu'un simple délire entre pote ! Les Aventures de Buckaroo Banzaï à travers la 8e dimension : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer Les Aventures de Buckaroo Banzaï à travers la 8e dimension : Réalisé par W.D. Richter Avec Peter Weller, John Lithgow, Jeff Goldblum, Ellen Barkin, Christopher Lloyd Genre : Aventure, science-fiction, pulp © 2018 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #BuckarooBanzai #analyse

Épisode 22 - Les lives de M. Bobine - La FAQ des 30 000 abonnés

10 décembre 2018

Un soleil rouge se lève. Beaucoup de bière et d'incidents techniques ont dû couler cette nuit. ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Alors qu'il nous a fallu 4 ans pour arriver à 10 000 abonnés, vous êtes désormais 30 000 à nous suivre ! A cette occasion, on s'est dit qu'au lieu de faire un live uniquement sur notre page discord, on allait mettre les petits plats dans les grands et diffuser notre live directement sur YouTube ! C'est également la soirée ou les serveurs de Discord ont choisit de planter... Par deux fois, j'ai donc perdu le contact avec mes compagnons et je me suis retrouvé seul à animer cette soirée tout en essayant de me reconnecter à Discord... Certains d'entre vous ont fait remarqué que Thanos nous avait peut-être fait payer notre désintérêt poli du nouveau trailer d'Avengers 4 en faisant disparaître la quasi-totalité de l'équipe du Ciné-club de M. Bobine... Résultat, de grands moments de solitude, de l'écho sorti de nulle part, et des problèmes techniques en pagaille... Heureusement, j'ai eu la présence d'esprit d'enregistrer la soirée en parallèle sur mon ordinateur. J'ai donc effectuer un peu de montage pour vous partager un live un peu moins chaotique que le direct, garanti sans écho fantômes ! Au cours de cette soirée riche en émotions, il aura donc été question du remake de Suspiria de Guadagnino, du Mandy de Panos Cosmatos, de Gaston Lagaffe (le film), de La Nuit des morts-vivants, de Michael Bay, de Jurassic World: Fallen Kingdom… On a parlé de nanars de toutes sorte et de toutes les tailles, de T’aime de Patrick Sébastien à The Meg de Jon Turteltaub en passant par Super Inframan, l’infâme Die Hard 4 ou encore les généreux films de Stephen sommers. Évidemment, on n’a pas échappé aux questions habituelles sur le cinéma de Denis Villeneuve, sur la bande annonce d’Avengers: Endgame, sur Avengers: Infinity War, ou sur d'autres productions Marvel. On se penche aussi sur le cas compliqué de Damien Chazelle, mais on a surtout parlé de nos réalisateurs favoris du moment, David Fincher, Juan Antonio Bayona et son superbe Quelques minutes après minuit ou encore Alfonso Cuarón dont nous attendons impatiemment le Roma ! Il y a eu au moins trois points “Godzilla” et beaucoup de bière a coulé derrière les micros. Bref, c’est ce qu’on appelle une bonne soirée ! Heureusement, ces petits inconvénients du direct ne nous ont pas empêché de répondre à une grande partie de vos questions ! © 2018 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #Bobine #cinéma #faq

Épisode 2 - Roma d'Alfonso Cuarón : l'analyse de M. Bobine

8 février 2019

Roma est-il vraiment un retour aux sources pour Alfonso Cuarón ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Après les trois gros projets internationaux que furent Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban, les Fils de l'Homme et Gravity, Alfonso Cuarón reviendrait-il à un cinéma plus intime avec Roma ? En effet, à la sortie du film, pas mal de spectateurs ont légitimement fait le lien entre Roma et Y Tu Mama Tambien, le précédent film mexicain de Cuaron sorti en 2001. Et les deux films partagent en effet pas mal de choses. Pourtant sur de nombreux points, Roma s'inscrit bien plus dans la continuité des Fils de l'Homme et de Gravity que dans celle de Y Tu Mama Tambien. On pourrait même dire que Les Fils de l'Homme, Gravity et Roma forment une sorte de trilogie thématique où Alfonso Cuarón prend en fait le contrepied de Y Tu Mama Tambien. En effet, depuis trois films, le cinéma d'Alfonso Cuarón semble hanté par la vision d’une humanité stérile et sans futur... comme si, à travers son cinéma, Alfonso Cuarón tentait lui aussi de répondre à la question que se posait son éminent collègue George Miller dans son Mad Max Fury Road : "qui a tué le monde ?". Roma d'Alfonso Cuarón : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer Roma : Réalisé par Alfonso Cuarón Avec Yalitza Aparicio, Daniela Demesa, Jorge Antonio Guerrero Genre : drame social © 2019 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #roma #alfonsoCuaron

Épisode 4 - La saga Mission Impossible : l'analyse de M. Bobine

22 février 2019

Dans Mission Impossible, Tom Cruise est-il le nouveau James Bond ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Avec ses six films, réalisé par cinq cinéastes, la saga Mission Impossible tient le haut de l'affiche depuis 23 ans et aura permis à son interprète Tom Cruise (également producteur), d’asseoir sa réputation de star internationale au cinéma. Mais en puisant son inspiration tant dans le cinéma de Hitchcock que dans des films comme Topkapi de Jules Dassin, la franchise de Tom Cruise marche sur les traces de. James Bond. Tandis que la franchise James Bond, elle, a délaissé l'espionnage pop et glamour depuis bien des décennies au profit d’une approche psychologisante superficielle tout en continuant à courir vers les modes du moment. À travers l’histoire de cette franchise, la mission que nous avons acceptée est d’essayer de comprendre ce qui en fait sa popularité mais aussi l’anomalie qu’elle a fini par devenir au sein du système Hollywoodien et plus largement dans le cinéma populaire contemporain. La saga Mission Impossible : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Yoan Orzsulik - Mission impossible réalisé par Brian de Palma - Mission impossible 2 réalisé par John Woo - Mission impossible 3 réalisé par J.J. Abrams - Mission impossible : Protocole Fantôme réalisé par Brad Bird - Mission impossible : Rogue Nation réalisé par Christopher McQuarrie - Mission impossible : Fallout réalisé par Christopher McQuarrie © 2019 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #TomCruise #MissionImpossible

Épisode 6 - Le Labyrinthe de Pan de Guillermo Del Toro : l'analyse de M. Bobine

3 mai 2019

Le Labyrinthe de Pan est-il un conte de fées ou un film historique ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Avant de lancer la vidéo, on vous recommande vivement d'avoir vu le Labyrinthe de Pan, parce qu'on spoile quasiment tout le film ! Il existe une amitié très forte entre trois réalisateurs mexicains qui ont pas mal marqué le cinéma du début du siècle : Alfonso Cuaron, Guillermo Del Toro et Alejandro González Iñárritu. En 2006, les trois réalisateurs mexicains sortaient coup sur coup Babel, Les fils de l’homme et le Labyrinthe de Pan, trois films qui, selon Alfonso Cuaron, peuvent être vus comme une trilogie. En effet, ils partagent des thématiques similaires, notamment la vision qu’ils offrent de mondes déliquescents dans lesquels se débattent les personnages principaux, et où la communication est devenue impossible. Des film éminemment politique, au sens le plus noble du terme. Si Babel ou Les Fils de l’Homme, abordent frontalement la dimension politique de leur sujet, le Labyrinthe de Pan, lui, semble prendre un chemin détourné, notamment via le conte de fée. Il n’en reste pas moins que Guillermo Del Toro parvient à mêler le récit légendaire et les mythes anciens avec une véritable réflexion politique et historique. Et ça tombe bien puisque c’est ce dont nous allons parler dans ce nouvel épisode du ciné-club de monsieur Bobine ! Le Labyrinthe de Pan de Guillermo Del Toro : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Lucas Mario Le Labyrinthe de Pan : Réalisé par Guillermo Del Toro Avec Ivana Baquero, Sergi López, Doug Jones, Maribel Verdú Genre : historique, fantastique, conte de fées © 2019 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #LeLabyrintheDePan #GuillermoDelToro

Épisode 9 - Le Roi Lion et les coulisses de Disney par M. Bobine

12 juillet 2019

Et si Le Roi Lion parlait en fait du Studio Disney ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Dans quelques jours va débarquer au cinéma un nouveau remake live d’un grand classique animé des studios Disney, le troisième à sortir cette année après Dumbo et Aladdin : Le Roi Lion réalisé par Jon Favreau (qui avait déjà réalisé le remake du Le livre de la jungle). Sous la présidence de Bob Iger, Disney n'a pas fini de presser son catalogue comme un citron puisque Mulan et La Petite Sirène vont aussi avoir les faveur d'un remake plus ou moins live au cinéma. On ne vous cache pas que dans l'équipe du Ciné-club de M. Bobine, on a un peu de mal à saisir l’intérêt artistique de ces remakes et plus particulièrement de ce Roi Lion bis (Qui n’est même pas un remake “live” comme ses prédécesseurs puisque tout le film est en images de synthèses). Mais si la créativité semble avoir définitivement déserté le studio aux grandes oreilles, difficile de nier que cette stratégie fonctionne du tonnerre. D'aillieurs, il ne fait aucun doute pour nous que le Roi Lion de Jon Favreau va faire un carton atomique et rejoindre en quelques jours le club des milliardaires, de plus en plus dominé par les productions Disney. Mais avant d'être ce monstre de l'entertainment, le Studio Disney à bien failli disparaître plus d'une fois... A travers le Roi Lion, c’est une autre histoire qui va nous intéresser aujourd’hui. Une histoire de pouvoir, de trahison, d'ascension et de chutes vertigineuses, une histoire qui s’inscrit dans le fameux Cycle de la vie cher à Mufassa et qui ressemble étrangement à celle que nous raconte Le Roi Lion. En effet, le film arrive pile poil au milieu des années ou Michael Eisner était le PDG de Disney, et il illustre à merveille tout ce qui s’est tramé, de la Disney Renaissance qui démarre avec le carton au cinéma de La Petite Sirène et qui culmine avec Le Roi Lion jusqu'à la chute de son PDG qui a changé un royaume jadis fertile en un terre dévastée. Le Roi Lion et les coulisses de Disney : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Cyril Rolland Le Roi Lion : Réalisé par Rob Minkoff et Roger Allers Avec James Earl Jones, Jeremy Irons, Matthew Broderick Genre : drame, animation, Disney © 2019 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #disney #LeRoiLion

Épisode 10 - Aliens de James Cameron, l'analyse de M. Bobine

25 octobre 2019

Aliens de James Cameron est-il une bonne suite au Alien de Ridley Scott ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Le Ciné-club de M. Bobine fait sa rentrée ! Pour se remettre tranquillement en jambes, on ne fait pas dans l'originalité puisque dans cette nouvelle vidéo, nous allons parler d'une franchise de science-fiction ultra populaire et archi commentée : la saga Alien, et plus particulièrement du second volet : Aliens de James Cameron. Lors de sa sortie au cinéma, Aliens fut un carton à peu près comparable à celui de son prédécesseur, Alien, le huitième passager réalisé par Ridley Scott. Mais peu à peu, le film de James Cameron va créer un schisme chez les fans de science-fiction. En effet, beaucoup reprochent au réalisateur de Terminator d'avoir trahit l'ambiance du film de Ridley Scott pour faire de la saga Alien, une vulgaire franchise de film d'action pétaradante destinée à remplir les salles de cinéma. Dès lors, on peut se demander si Aliens n'était qu'une simple commande pour James Cameron ou bien était-ce un film qui porte sa marque et ses thématiques récurrentes ? Est-ce que Aliens peut-être une bonne suite au chef d'oeuvre de Ridley Scott tout en étant un film radicalement différent ? Comment ce second volet s'inscrit-il dans une franchise forte de quatre films (Alien le huitième passager de Ridley Scott, Aliens de James Cameron, Alien 3 de David Fincher et Alien la résurrection de Jean-Pierre Jeunet), deux spin off (Alien vs. Predator et sa suite) et deux préquelles (Prometheus et Alien Covenant de Ridley Scott) et quel fut sont héritage ? Et au fond, est-ce que les chats ne seraient pas beaucoup plus dangereux que les xénomorphes ? Aliens de James Cameron : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Yoan Orszulik, Julien Pavageau Aliens : Réalisé par James Cameron Avec Sigourney Weaver, Michael Biehn, Paul Reiser, Lance Henriksen Genre : science fiction © 2019 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #alien #JamesCameron

Épisode 13 - Zu, les guerriers de la montagne magique de Tsui Hark, l'analyse de M. Bobine

22 novembre 2019

Et si Zu, les guerriers de la montagne magique était le film par lequel tout avait commencé pour Tsui Hark ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine John Carpenter, Sam Raimi, Christophe Gans, Edgar Wright, Guillermo Del Toro, les sœurs Wachowski... Le moins que l'on puisse dire, c'est que la liste des cinéastes qui ont été inspirés consciemment ou inconsciemment par le cinéma de Tsui Hark est très longue, au moins autant que l'impressionnante filmographie du réalisateur hongkongais qui compte pas moins d'une quarantaine de films. Pourtant, la carrière de Tsui Hark était bien mal en point après Zu, les guerriers de la montagne magique. En effet, en faisant exploser les codes du wu-xia pian, le film de sabre chinois, Tsui Hark n'a pas su convaincre les spectateurs et fut un échec au box office hongkongais alors que son film était conçu comme un prototype de blockbuster qui devait rivaliser avec Star Wars. Malgré cet échec, Zu, les guerriers de la montagne magique sera la matrice d'un renouveau du Wu xia pian fantastique et sera le film qui fera connaître le cinéma de Tsui Hark à l'international et sera une des inspirations de John Carpenter pour son film Jack Burton dans les griffes du Mandarin. Zu, les guerriers de la montagne magique de Tsui Hark : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Gouriou-Vales et Yoan Orszulik Zu, les guerriers de la montagne magique : Réalisé par Tsui Hark Avec Yuen Biao, Sammo Hung, Adam Cheng, Hoi Mang, Moon li, Brigitte Lin Genre : Wu xia pian fantastique Adapté Des épées duelles Pourpre et Verte de Huanzhu Louzho © 2019 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #TsuiHark #Zu

Épisode 14 - Les lives de M. Bobine - Le cinéma de Tsui Hark

29 novembre 2019

Tsui Hark est-il vraiment le "Steven Spielberg chinois" ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Comme on le disait dans notre dernier épisode du ciné-club de M. Bobine consacré à Zu les guerriers de la Montagne Magique, ça faisait un bon moment qu’on voulait parler d’un génie aussi prolifique que cinglé : Tsui Hark. Et comme on sort tout juste de la rétrospective consacrée au Spielberg chinois par le festival des 3 continents qui nous ont généreusement invité, on a décidé de prolonger un peu l’expérience avec un live consacré au cinéma déjanté et subversif de Tsui Hark ! Évidemment, on ne va pas passer tous ses films en revue parce qu’il y en a une quarantaine et qu’on ne les a pas tous vu. Et surtout, on a pas trois jours devant nous. En revanche, on a décidé de parler des 14 films de la rétrospective du festival des 3 continents, d’abord parce qu’ils sont encore frais dans notre mémoire, ensuite parce que c’est une rétro assez représentative de l’imposante filmo du Spielberg chinois, même s’il manquait quand même un film indispensable à cette programmation : Piège à Hong Kong. On ne va pas revenir sur Zu les Guerrier de la montagne magique ni sur les tout premiers films de Tsui Hark puisqu’on en parle déjà dans notre dernier épisode du Ciné-club de M. Bobine, en revanche, on va s’intéresser à Shanghai Blues, Pekin Opera Blues, Histoire de fantômes chinois, Il était une fois en Chine et sa suite La Secte du Lotus Blanc, L’auberge du dragon, Green Snake, The Lovers, Le Festin Chinois, The Blade, Time and Tide et la série des Détective Dee. Bon, si on ne traîne pas trop, on peut essayer de caser Piège à Hong Kong, mais c’est déjà un très gros programme et pour en parler, je retrouve donc mes camarades de séance Yoan Orszulik et Aurélien Gouriou-Vales aka Sanju. Le cinéma de Tsui Hark : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine © 2019 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #TsuiHark

Épisode 15 - Le cinéma d'Elio Petri par M. Bobine (avec @zoanima9583 )

13 décembre 2019

Aujourd'hui, on se plonge dans le cinéma burlesque, engagé, surréaliste et enragé d'Elio Petri ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Elio Petri n’est probablement pas le premier cinéaste que l’on nommerait spontanément quand on pense au cinéma italien. Pourtant, Ennio Morricone, qui composa des bandes originales pour sept de ses films, disait que c’était sur les films d'Elio Petri qu’il a pu donner le meilleur de lui- même, en expérimentant de façon totalement libre. Le scénariste Tonino Guerra, qui a travaillé avec de célèbres cinéastes comme Antonioni, De Sica, Fellini, Tarkovski, ou encore Angelopoulos, disait quant à lui qu’avec la force d’une telle vision, le réalisateur de La Dixième Victime ne devrait pas être oublié. Et pourtant, si deux de ses films ont été récompensés de la Palme d'Or à Cannes (La classe ouvrière va au paradis) et de l'Oscar du meilleur film étranger (Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon) ces deux films sont souvent les arbres qui cachent une filmographie passionnante et bien plus dense. Aujourd'hui on vous invite donc à découvrir des films pops et psychédéliques comme La Dixième Victime, des œuvres hérités du cinéma italien de Pier Paolo Pasolini comme Todo modo, des polars glaçants comme Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon ou des comédies satiriques comme La propriété, c'est plus le vol. Bref, on vous invite à découvrir le cinéma d'Elio Petri et pour l'occasion, cet épisode a été écrit par le taulier de la chaîne Zo Anima qu’on vous invite bien évidemment à explorer ! Le cinéma d'Elio Petri : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Vincent Capes © 2019 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #ElioPetri #LaDixièmeVictime

Épisode 16 - A.I. Intelligence Artificielle de Steven Spielberg, l'analyse de M. Bobine

27 décembre 2019

Initié par Stanley Kubrick, A.I. Intelligence Artificielle témoigne pourtant des obsessions de Spielberg. ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine C'est en train de devenir une tradition : chaque année, M. Bobine propose à Steven Spielberg de passer sur son divan pour une nouvelle psychanalyse de Noël ! En effet, en 2017, nous sortions un épisode consacré au rapport ambigu de Spielberg avec Indiana Jones et le Temple Maudit. En 2018, c'était au tour de E.T., L’extra-terrestre de faire l'objet d'un épisode. Cette année, on enchaîne avec A.I. Intelligence Artificielle, un film dont le ton nihiliste a souvent été attribué à Stanley Kubrick, mais qui cadre pourtant parfaitement avec les obsessions de cinéastes de Steven Spielberg ! En effet, après avoir porté au cinéma trois films historiques aux sujets particulièrement sensibles (La Liste de Schindler, Il faut sauver le soldat Ryan et Amistad) durant la décennie des années 90, Spielberg se pose la question de sa responsabilité de réalisateur dans A.I. Intelligence Artificielle. Il s'agit d'une question importante dans son cinéma puisqu'on la retrouvera également dans ses films suivants : Minority Report et Arrête-moi si tu peux. Voici le lien de l'excellente vidéo du Filmonaute qui a inspiré cet épisode du Ciné-club de M. Bobine : https://www.youtube.com/watch?v=-qVm7YcFPho Et n'hésitez surtout pas à vous abonner à sa chaîne ! A.I. Intelligence Artificielle de Steven Spielberg : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer A.I. Intelligence Artificielle de Steven Spielberg : Réalisé par Steven Spielberg Avec Haley Joel Osment, Jude Law, Frances O'Connor, William Hurt Genre : Science-fiction Adapté de Les Supertoys durent tout l'été de Brian Aldiss © 2019 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #Spielberg #AI

Épisode 17 - Les lives de M. Bobine : retour sur les années 2010 - PARTIE 1

4 janvier 2020

L'équipe de M. Bobine fête ses 50 000 abonnés en faisant une rétrospective des années 2010 ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Bonsoir à toutes et à tous ! Ça ne vous aura pas échappé, nous somme désormais en 2020 et nous venons de changer de décennie… Alors en fait non, parce que normalement le changement, c’est à la fin de l’année prochaine, mais bon… On trouvait que c’était plus classe de fêter ses 50 000 abonnés avec une rétrospective sur la décennie passée. Car oui ! vous êtes désormais plus de 50 000 à nous suivre sur notre chaîne YouTube ! Ce qui veut dire que nous somme désormais la moitié d’une chaîne qui pèse un peu dans le YouTube game ciné ! Et comme il y a beaucoup de films à aborder, on va faire ce live en plusieurs parties. Dans cette première partie, il va être question des films de 2010 à 2012. Il va donc beaucoup être question de films comme Social Network de David Fincher, True Grit des frères Coen, Scott Pilgrim versus the world d'Edgar Wright, Les aventures de Tintin par Steven Spielberg et Peter Jackson, le Hobbit du même Peter Jackson, Le Territoire des Loups de Joe Carnahan, L'Ordre et la Morale de Matthieu Kassovitz, Cloud Atlas des soeurs Wachowski et de Tom Tykwer, Zero Dark Thirty de Kathryn Bigelow, L'odyssée de Pi de Ang Lee ou encore Django Unchained de Quentin Tarantino. On profite également de ce live pour vous remercier du fond du cœur de l’attention que vous portez à nos bafouilles sur le cinéma, certains depuis nos débuts sur YouTube aux alentours de 2014. On souhaite également la bienvenue aux nouveaux abonnés, n’hésitez pas à vous servir dans le frigo, on a de la bière et des jus de fruits, prenez un pouf et installez vous confortablement, on va maintenant faire un petit bond en arrière dans le temps et on va se refaire le diaporama de la décennie passée au cinéma ! 00:00 - Introduction 4:09 - The Social Network de David Fincher 6:57 - True Grit de Ethan et Joel Coen 9:44 - Toy Story 3 de Lee Unkrich 13:39 - Scott Pilgrim d’Edgar Wright 23:04 - Dragons de Dean DeBlois et Chris Sanders 29:08 - Balada triste de Álex de la Iglesia 33:45 - Unstoppable de Tony Scott 37:33 - Submarine de Richard Ayoade 39:04 - Troupe d'élite 2 de José Padilha 41:37 - 13 Assassins de Takashi Miike 43:50 - Alice au pays des merveilles de Tim Burton 46:08 - Le Discours d'un roi de Tom Hooper 57:19 - Les Aventures de Tintin : Le Secret de La Licorne de Steven Spielberg 1:05:52 - The Tree of Life de Terrence Malick 1:10:29 - Le Territoire des loups de Joe Carnahan 1:16:09 - The Artist de Michel Hazanavicius 1:18:20 - L'Ordre et la Morale de Mathieu Kassovitz 1:29:53 - Cloud Atlas de Lana et Lilly Wachowski 1:46:44 - Le Hobbit : Un voyage inattendu de Peter Jackson 2:00:54 - L’Odyssée de Pi de Ang Lee 2:08:03 - Zero Dark Thirty de Kathryn Bigelow 2:12:41 - Django Unchained de Quentin Tarantino © 2020 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #2010 #bilan

Épisode 1 - Les lives de M. Bobine : retour sur les années 2010 - PARTIE 2

16 janvier 2020

Suite de notre bilan cinéma des années 2010... mais probablement pas la fin... ★ Soutenez-nous sur uTip ► https://utip.io/mrbobine ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on est très loin d'avoir fait le tour des années 2010 au cinéma et qu'il nous faudra probablement encore deux ou trois soirée en votre compagnie pour achever le bilan cinéma de cette décennie. D'autant plus que nous abordons cette seconde partie avec une année particulièrement chargée, 2013, durant laquelle sont sorti les films de certains de nos chouchous, comme Gravity et Pacific Rim des amigos Alfonso Cuarón et Guillermo Del Toro, Snowpiercer de Bong Joon-ho, The World's End d'Edgar Wright, Le monde fantastique d'Oz, le film mal aimé de Sam Raimi, l'incroyable Détective Dee 2 : La Légende du Dragon des mers du fou furieux Tsui Hark ou encore Pain and Gain de notre cancre favori Michael Bay ! Pour gagner du temps, on vous renvoie vers les vidéos qu'on a consacrées à la plupart de ces films : ► Gravity d'Alfonso Cuarón : https://www.youtube.com/watch?v=NfOqf_S9yN4 ► Pacific Rim de Guillermo Del Toro : https://www.youtube.com/watch?v=caGq82yhsCc ► Snowpiercer, le Transperceneige de Bong Joon-ho : https://www.youtube.com/watch?v=rK9rUEp4BNY ► La trilogie Cornetto d'Edgar Wrhight : https://www.youtube.com/watch?v=BLLmNTBfIn4 ► Le cinéma de Michael Bay partie 1 : https://www.youtube.com/watch?v=G_HqmnH2XyI ► Le cinéma de Michael Bay partie 2 : https://www.youtube.com/watch?v=2Qed8LMxFeM ► Le cinéma de Sam Raimi : https://www.youtube.com/watch?v=rWgMuc4E5qI ► Le cinéma de Tsui Hark : https://www.youtube.com/watch?v=HHVMJRGlWEA 00:00 - Introduction 6:30 - Her de Spike Jonze 19:28 - Le Loup de Wall Street de Martin Scorsese 30:43 - Le vent se lève de Hayao Miyazaki 45:58 - Le Conte de la princesse Kaguya de Isao Takahata 50:58 - Journey to the West: Conquering the Demons de Stephen Chow 1:07:29 - Inside Llewyn Davis de Joel et Ethan Coen 1:17:07 - Le monde fantastique d’Oz de Sam Raimi 1:20:54 - Interlude : Nicolas Winding Refn 1:25:06 - Edge of Tomorrow de Doug Liman 1:30:45 - Gone Girl de David Fincher 1:46:13 - Whiplash de Damien Chazelle 2:01:33 - La Grande Aventure Lego de Chris Miller et Phil Lord 2:11:46 - Kingsman : Services secrets de Matthew Vaughn 2:26:16 - La Planète des singes : L'Affrontement de Matt Reeves 2:33:30 - Balade entre les tombes de Scott Frank 2:36:22 - Les Boxtrolls de Graham Annable et Anthony Stacchi 2:39:06 - Fires on the Plain de Shin'ya Tsukamoto 2:43:30 - A Girl at My Door de July Jung © 2020- Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #2010 #bilan

Épisode 2 - Les lives de M. Bobine : retour sur les années 2010 - PARTIE 3

6 février 2020

2015 c'est l'année du retour de Mad Max sur les écrans, mais aussi de celui de M. Bobine ! ★ Soutenez-nous sur uTip ► https://utip.io/mrbobine ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Bon, ça ne surprendra personne, toute l'équipe du Ciné-club de M. Bobine est unanime pour dire que Mad Max: Fury Road est le meilleur film de l'année 2015, mais aussi de la décennie. Mais ce que vous ne savez peut-être pas, c'est que c'est grâce à Mad Max: Fury Road que nous avions trouvé la motivation de relancer la chaîne du Ciné-club de M. Bobine qui stagnait depuis sa création en 2014. Mais il n'y a pas que Mad Max: Fury Road dans la vie (enfin... un peu quand même), et 2015 fut une année assez exceptionnelle puisque nous avons eu la chance de découvrir des films de réalisateurs comme Steven Spielberg, Quentin Tarantino, Guillermo Del Toro ou encore Brad Bird ! Voici donc les autres films que nous avons abordé dans ce direct que nous avons essayé de faire le plus synthétique possible (mais qui dépasse quand même les 2h30 de direct... 00:00 - Introduction 01:50 - Mad Max: Fury Road de George Miller 36:23 - Le Pont des espions de Steven Spielberg 50:47 - Shaun le mouton, le film de Richard Goleszowski et Mark Burton 1:01:53 - Les Huit Salopards de Quentin Tarantino 1:13:58 - Vice-versa de Pete Docter 1:21:28 - Crimson Peak de Guillermo Del Toro 1:52:45 - À la poursuite de demain de Brad Bird C'est d'ailleurs sur le Tomorrowland de Brad Bird que nous avons choisi de passer le plus de temps parce qu'il a une place un peu particulière dans notre classement, il est à la fois dans le top et dans le flop de l'année 2015... © 2020- Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #MadMaxFuryRoad #Tomorrowland

Épisode 3 - Alien, la résurrection de Jean-Pierre Jeunet, l'analyse de M. Bobine

6 mars 2020

Alien, la résurrection est-il vraiment un épisode à part dans la saga Alien ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine "Il y aura toujours un Alien merdique dans la franchise, un Alien avec mon nom au générique". C'est en ces termes que Joss Whedon parle du quatrième volet de la mythique saga du xénomorphe sur lequel il était scénariste. Pourtant, Alien la résurrection n'a pas tellement le profil du film maudit et même si les qualités d'écritures de Whedon sont encensées et étudiées un peu partout (notamment au travers de sa série Buffy contre les vampires), à l'époque d'Alien 4, c'était encore un illustre inconnu. Du coup, on peut facilement imaginer que la Fox l'avait embauché pour écrire un film un tantinet moins risqué que les trois premiers films de la saga. D'ailleurs, à quelques anicroches près, Whedon s’accommodait plutôt bien des directives du studio anciennement connu sous le nom de "Fox" et il a concédé plus tard en interview que son scénario n'a pas été retouché dans son dos ni par les exécutifs du studio, ni par Jean-Pierre Jeunet qui a immédiatement accepté de travaillé avec le scénario de Whedon, à la grande surprise de ses employeurs... Mais alors, pourquoi le créateur de Buffy Summers semble aussi amer lorsqu'il évoque Alien la résurrection ? Est-ce que ce quatrième volet délaisse l'horreur psychologique présente dans les volets de Ridley Scott, James Cameron et David Fincher au profit d'un spectacle plus grand public ? Et surtout : Alien, la résurrection a-t-il sa place aux côtés de ses illustres prédécesseurs Alien, Aliens et Alien 3 ? Alien, la résurrection de Jean-Pierre Jeunet : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Julien Pavageau Alien, la résurrection : Réalisé par Jean-Pierre Jeunet Avec Sigourney Weaver, Winona Ryder, Ron Perlman, Dominique Pinon Genre : horreur, science-fiction © 2020 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #alien #whedon

Épisode 5 - Les lives de M. Bobine : retour sur les années 2010 - PARTIE 5

11 avril 2020

Toujours confinés mais toujours motivés, on s'attaque aujourd'hui à l'année 2017 ! ★ Soutenez-nous sur uTip ► https://utip.io/mrbobine ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Le coronavirus nous empêche peut-être d'aller batifoler dans les meules de foins (et accessoirement, d'aller voir des films au cinéma), mais il ne nous empêchera pas de poursuivre notre rétrospective des années 2010 au cinéma ! Pour cette cinquième partie, nous allons nous atteler à l'année 2017 et même si on ne va pas parler d'autant de films que dans notre podcast précédent, on a quand même du pain sur la planche car 2017 marque le retour de certains de nos réalisateurs et réalisatrices favoris comme le prolifique Steven Spielberg et son Pentagon Papers qu'il a tourné pour se reposer du tournage de Ready Player One, Bong Joon-ho qui signe Okja pour la plateforme Netflix, Guillermo Del Toro qui signe un très gros succès avec La Forme de l'eau tandis que Kathryn Bigelow, elle, fait malheureusement un flop avec le viscéral Detroit ce qui laisse craindre le pire pour la suite de sa carrière. On espère qu'elle pourra rebondir comme l'a fait Edgar Wright après son départ du film Ant-Man et du Marvel Cinematic Universe pour aller tourner Baby Driver, qui est probablement l’œuvre la plus personnelle de son réalisateur. Bref, un gros programme pas exhaustif qui nous a occupé pendant plus de trois heures... 00:00 - introduction 2:49 - Hommage à Nobuhiko Ōbayashi 18:45 - Pentagon Papers de Steven Spielberg 33:43 - interlude : Dennis Villeneuve 40:56 - Baby Driver d'Edgar Wright 1:08:21 - La Forme de l'eau de Guillermo Del Toro 1:31:33 - Detroit de Kathryn Bigelow 1:55:56 - Le Redoutable de Michel Hazanavicius 2:27:29 - Coco de Lee Unkrich et Adrian Molina 2:43:25 - Okja de Bong Joon-ho 3:14:35 - Battleship Island de Ryoo Seung-wan 3:23:19 - Creepy et Avant que nous disparaissions de Kiyoshi Kurosawa Vous pouvez retrouvez ce live au format mp3 à cette adresse : http://www.cinephylis.fr/m-bobine-bilan-des-annees-2017/ #rétrospective2017 #PentagonPapers #BabyDriver

Épisode 6 - Les lives de M. Bobine : retour sur les années 2010 - PARTIE 4

11 avril 2020

Vous vous souvenez en 2016 ? Quand on pouvait encore aller au cinéma ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Petit disclaimer, suite à une mauvaise manip pendant la cinquième partie de notre série de live, j'ai malencontreusement effacé cette partie 4 consacrée à l'année 2016... Après avoir un peu transpiré des yeux en comprenant ma connerie, je me suis souvenu que je conservais tous mes live au format mp3 ! Cette quatrième partie de notre titanesque rétrospective n'était donc pas perdue et la voici donc à nouveau disponible. Bon en revanche, tous les commentaires du chat et de la vidéo ont disparus, et je m'en excuse, ça me servira de leçon, je ferai un peu plus gaffe la prochaine fois que j'efface une vidéo... C'eut été en effet dommage de perdre ces deux heures et demi de discussions sur l'année 2016 puisque ce fut une année pour le moins éclectique ! Il va en effet être question de cinéma de tous les continents : 00:00 - Introduction 5:22 - Your Name de Makoto Shinkai 18:56 - Quelques minutes après minuit de Juan Antonio Bayona 34:09 - Mademoiselle de Park Chan-wook 42:12 - Le Dernier train pour Busan de Sang-ho Yeon 55:35 - Kubo et l’Armure magique de Travis Knight 1:01:24 - Tu ne tueras point de Mel Gibson 1:19:40 - Silence de Martin Scorsese 1:32:10 - Swiss Army Man de Dan Kwan et Daniel Scheinert 1:43:31 - The Lost City of Z de James Gray 2:02:13 - Elle de Paul Verhoeven 2:09:39 - Hunt for the Wilderpeople de Taika Waititi 2:20:32 - The Mermaid de Stephen Chow 2:27:01 - Comancheria de David Mackenzie 2:30:35 - Le Bon Gros Géant de Steven Spielberg © 2020 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #retrospective2016 #cinémaCoréen

Épisode 8 - Parasite de Bong Joon-ho et Gone Girl de David Fincher, l'analyse de M. Bobine

24 avril 2020

Et si David Fincher et Bong Joon-ho racontaient la même chose dans Parasite et Gone Girl ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Voici le lien vers l'article qui aborde des aspects de Parasite dont nous n'avons pas parlé dans la vidéo : https://tropicsofmeta.com/2020/02/17/reading-colonialism-in-parasite/ Le 16 octobre 2019, alors qu'il est en pleine campagne pour les Oscar avec son film Parasite, Bong Joon-Ho et son acteur fétiche Song Kang-ho sont invités au Lincoln Center pour présenter une projection de Memories of Murder. À la fin de son introduction, Bong Joon-Ho explique qu'il est très fan de David Fincher, mais il juge bon de rappeler aux spectateur que son film est sorti 4 ans avant Zodiac. Si le ton est humoristique, on peut comprendre le besoin d'une telle précision. Pourtant, il y a une certaine forme d'ironie à voir Bong Joon-Ho se détacher de l'influence de David Fincher lors d'une projection organisée dans le cadre d'une campagne médiatique destinée à promouvoir son film le plus directement inspiré par David Fincher : Parasite. En effet, avec ses plans méticuleusement composés et son scénario où le moindre élément a un sens, Parasite apparaît donc comme une rupture dans le cinéma de Bong Joon-Ho… une rupture qui évoque justement le travail de David Fincher depuis The Social Network. Mais si Parasite peut évoquer visuellement différents films de Fincher, thématiquement, il se rapproche plus particulièrement de son dernier film en date : Gone Girl car derrière leur aspect de thriller, Parasite et Gone Girl partagent le même projet : montrer comment une structure sociale se perpétue à travers ses catégories les moins favorisées. Parasite de Bong Joon-ho et Gone Girl de David Fincher : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer et Yoan Orszulik Parasite : Réalisé par Bong Joon-ho Avec Song Kang-ho, Cho Yeo-jeong, Choi Woo-sik Genre : comédie satirique Gone Girl : Réalisé par David Fincher Avec Rosamund Pike, Ben Affleck, Neil Patrick Harris Genre : thriller Adapté de Gone Girl de Gillian Flynn © 2020 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #parasite #goneGirl

Épisode 10 - Les lives de M. Bobine : retour sur les années 2010 - PARTIE 6

23 mai 2020

On a beau être déconfiné, on ne peut toujours pas aller au ciné... ★ Soutenez-nous sur uTip ► https://utip.io/mrbobine ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Plus de 4 mois après s'être lancé dans cette rétrospective, dont deux mois de confinement, il va sans dire que ce retour dans les années 2010 a une saveur un peu particulière... Paradoxalement, plus on se rapproche de l'année 2019, plus cette période nous semble éloignée car si on peut enfin (plus ou moins) sortir le nez dehors, les salles de cinéma, elles sont toujours fermée... Pour cette sixième partie, il va être question de l'année 2018 qui signe le grand retour de notre chouchou Alfonso Cuaron avec son magnifique Roma (auquel nous avions consacré un épisode). On retrouve également quelques habitués comme le prolifique Steven Spielberg qui signe un pamphlet assez violent contre la marchandisation actuelle de la pop culture en adaptant le bouquin tout pourri d'Ernest Cline : Ready Player One. Nous parlerons aussi d'autres de nos chouchous, comme Tsui Hark avec Detective Dee 3, Joel et Ethan Coen avec La Ballade de Buster Scruggs, Clint Eastwood avec La Mule, Mamoru Hosoda avec Miraï, ma petite sœur ou encore Peter Jackson avec Pour les soldats tombés. Et puis il y a eu les films que nous n'attendions pas forcément, mais qui furent de très bonnes surprises comme Spider-Man: New Generation de Peter Ramsey et Annihilation de Alex Garland. Inévitablement, après des heures de live, il y a du relâchement et certains membres de l'équipes ont laissé libre court à certains de leurs pires penchants : les blockbusters nanardesques. Il a donc été question d'Aquaman, le super sentai sous-marin de James Wan puis du schizophrène Jurassic World 2, de notre chouchou Juan Antonio Bayona, écrit par cette grosse tanche de Colin Trevorrow. Et tant qu'on y est, on s'est aventuré dans les recoins les plus sombres du cinéma français avec une caricature de film intello franchouillard : Mes provinciales de Jean Paul Civeyrac ainsi qu'Alien Crystal Palace d'Arielle Dombasle qu'un de nos chroniqueur décrit dans le live comme une sorte de Gods of Egypt mais sans budget... Voici les timecodes des films dont nous avons parlé : 00:00 - Introduction 2:35 - Roma d'Alfonso Cuaron 13:52 - Detective Dee : La légende des rois célestes de Tsui Hark 27:00 - Spider-Man : New Generation de Peter Ramsey, Bob Persichetti et Rodney Rothman 58:22 - Vice d'Adam McKay 1:17:42 - Annihilation d'Alex Garland 1:37:54 - La Ballade de Buster Scruggs de Joel et Ethan Coen 1:46:41 - La Mule de Clint Eastwood 1:59:50 - Miraï, ma petite sœur de Mamoru Hosoda 2:11:49 - Pour les soldats tombés de Peter Jackson 2:26:14 - Aquaman de James Wan 2:44:23 - Jurassic World : Fallen Kingdom de Juan Antonio Bayona 2:58:44 - Mes provinciales de Jean Paul Civeyrac 3:09:42 - Alien Crystal Palace d'Arielle Dombasle 3:17:45 - Hérédité de Ari Aster 3:25:32 - Hostiles de Scott Cooper 3:33:27 - Bumblebee de Travis Knight © 2020 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #rétrospective2018 #2010 #Roma

Épisode 11 - Tucker, Speed Racer et Le Mans 66 : l'art et les bagnoles par M. Bobine

26 juin 2020

Est-il vraiment question de grosses bagnoles dans Le Mans 66, Speed Racer, et dans Tucker ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine À priori, Speed Racer, Tucker et Le Mans 66 de sont trois films qui n'ont que l'univers automobile en commun. Au delà de ça, ces trois films semblent aussi différents que le sont leurs réalisateurs et réalisatrices respectifs : Lilly et Lana Wachowski, Francis Ford Coppola et James Mangold. Et pourtant, les trois films racontent sensiblement la même histoire : le parcours d'artistes en quête d'indépendance qui vont se heurter à de grosses compagnies qui souhaite absorber et normaliser leurs talents. ainsi, nos quatre cinéastes vont avant tout parler d'un art au travers d'un univers semblable en de nombreux points au cinéma : celui des grosses bagnoles ! Tucker de Francis Ford Coppola, Speed Racer de Lilly et Lana Wachowski, Le Mans 66 de James Mangold : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Yoan Orszulik Tucker: The Man and His Dream : Réalisé par Francis Ford Coppola Avec Jeff Bridges, Joan Allen, Martin Landau Genre : drame, biographie Speed Racer : Réalisé par les sœurs Wachowski Avec Emile Hirsch, Christina Ricci, Matthew Fox, John Goodman, Susan Sarandon Genre : course automobile, action Adapté de Speed Racer de Tatsuo Yoshida Ford v Ferrari : Réalisé par James Mangold Avec Matt Damon, Christian Bale Genre : biographie, action, course automobile Adapté de Go Like Hell: Ford, Ferrari, and Their Battle for Speed and Glory at Le Mans de A. J. Baime © 2020 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #wachowski #coppola #mangold

Épisode 12 - Hollywood après le 11 septembre 2001, l'analyse de M. Bobine

24 juillet 2020

Que s'est-il passé à Hollywood juste après les attentats du 11 septembre ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Aujourd’hui, M. Bobine remonte le temps de quasiment 20 ans, jusqu’à la date qu’il faut sûrement considérer comme la plus importante de ce début de 21e siècle : le 11 septembre 2001. Si vous n’étiez pas trop jeunes à l’époque, vous vous souvenez parfaitement où vous étiez et ce que vous faisiez quand les avions ont frappé les deux tours du World Trade Center. Mais est-ce que vous rappelez de l’impact, assez puissant dans son genre, que ces tragiques événements ont eu sur l’industrie hollywoodienne ? Bon, je préfère préciser tout de suite qu’on ne va trop parler ici de la ribambelle de films sortis au cours des années 2000 qu’on a pu qualifier à l’époque de « post-11 septembre ». Il ne sera donc pas questions de La Guerre des Mondes de Steven Spielberg, ni de Team America de Trey Parker et Matt Stone ni même de Zero Dark Thirty de l'immense Kathryn Bigelow (mais ne désespérerez pas, ce sont des films qu'on traitera très certainement dans un épisode un jour ou l'autre !). Il n'est même pas question du World Trade Center d'Oliver Stone. Non, on va plutôt s’intéresser à ce qu’il s’est passé dans les semaines qui ont suivi les attaques et donc aux films sorti entre la fin 2001 et l'année 2002 comme Spider-man de Sam Raimi, Zoolander de Ben Stiller, ou encore Spy Game de Tony Scott et Black Hawk Down (aka la chute du Faucon noir par chez nous) de Ridley Scott. Quelles décisions ont été prises par les studios ? Quelle a été la réaction du public ? Des artistes ? De la Maison-Blanche ? Hollywood a-t-elle été, comme on pu le lire à l’époque, l’industrie la plus touchée par les attentats, juste derrière l’aviation civile ? Voilà toutes les questions qu’on va aborder dans cet énorme épisode qui nous a demandé pas mal de boulot... Hollywood après le 11 septembre 2001 : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Cyril Rolland © 2020 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #hollywood #11septembre

Épisode 13 - Final Fantasy VII : le Star Wars du jeu vidéo - l'analyse de M. Bobine

18 septembre 2020

Et si Final Fantasy VII était un véritable "Star Wars" du jeu vidéo ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine le Ciné-club de M. Bobine fait sa rentrée avec un épisode un peu particulier, car pour la première fois dans la longue et épique histoire de notre chaîne, nous allons parler d’un jeu vidéo : Final Fantasy VII. Rassurez-vous, nous n’inaugurons pas la chaîne M. Bobine Gaming et le monde du cinéma ne sera pas bien loin puisque nous allons également parler de la plus célèbre franchise de science-fiction sur grand écran : la trilogie originale Star Wars ! Alors j’ai bien conscience qu’il s’agit très certainement du sujet le plus clickbait de l’histoire de notre modeste chaîne YouTube… Pourtant, le rapprochement entre Final Fantasy VII et Star Wars est un sujet qui m’obsède depuis un bon moment. J’ai eu beau ausculter la trilogie de George Lucas sous toutes les coutures durant ma vie de cinéphile, j’ai eu beau être lassé et agacé par l’exploitation industrielle de cette franchise, j’ai l’impression que tout me ramène systématiquement à Star Wars, comme si je n’avais jamais réussi à surmonter le choc original que fut le tout premier volet de la Guerre des Étoiles. À la fin des années 90, j’étais moi aussi en pleine la Star Wars mania suite à l’annonce d’une nouvelle trilogie, pourtant, ce n’est pas dans un cinéma mais devant un petit écran cathodique tout pourri que je me suis retrouvé brutalement propulsé dans un autre univers : celui des jeux de rôles japonais, de la saga Final Fantasy mais surtout, dans l’immense citée futuriste de Midgar. Deux décennies et une vingtaine de parties plus tard, je me rend compte que je ne me suis jamais vraiment remis du choc que fut Final Fantasy VII. Et visiblement je ne suis pas le seul... Comme Star Wars, l'univers du septième volet de la célèbre saga de Square Enix a été décliné dans d'autres jeux vidéo comme Dirge of Cerberus sur Playstation 2, Crisis Core sur la première console portable de Sony, le récent Remake sur Playstation 4 ou encore sur le grand écran avec Advent Children. Plus de vingt ans après sa sortie, Final Fantasy VII continue de faire parler de lui et à déchaîner les passions, comme la saga Star Wars. Et oui, pour moi comme pour d’innombrables joueurs, Final Fantasy VII fut un véritable « Star Wars » du jeu vidéo, et pour tenter de comprendre comment ces deux sagas ont survécu au passage du temps, peut-être que la meilleur solution est de s’amuser à les interconnecter ! Évidemment, nous sommes avant tout une chaîne qui parle de cinéma, j’ai donc essayé de faire en sorte d’être le plus synthétique et accessible possible pour un public de néophytes et de faire un Ciné-Club de M. Bobine pour les fans et les nouveaux venus en quelque sorte (vrais savent). De la même manière, je suis plus à l’aise avec le cinéma qu’avec le jeu vidéo, j’en appelle donc à votre indulgence quant aux quelques bourdes ou imprécisions qui m’auraient échappées. Pour éviter de faire une vidéo de plus de 5h, j'ai également pas mal synthétisé certains passages, mais d'autres journalistes et vidéastes en parlent évidemment bien mieux que moi et je vous invite à aller consulter leurs travaux : - La table ronde "Jeux vidéo & cinéma : une histoire de contaminations" animée par Rafik Djoumi : https://www.youtube.com/watch?v=XwtFpuSmG9I - Une vidéo sur Metal Gear Solid de l'excellente chaîne Game Next Door : https://www.youtube.com/watch?v=IyALF0J8odM - Une très bonne analyse des éléments constitutifs des RPG : https://www.youtube.com/watch?v=-bCGPKlrfc8 - Et enfin une vidéo très complète sur l'impact de Final Fantasy VII : https://www.youtube.com/watch?v=9V68GCZ61Rc Final Fantasy VII : le Star Wars du jeu vidéo : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Écriture, réalisation, voix, montage : Julien Pavageau © 2020 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #FinalFantasyVII #StarWars #cinéma

Épisode 14 - Les lives de M. Bobine : retour sur les années 2010 - PARTIE 7

3 octobre 2020

Voilà, c'est la fin de notre titanesque rétrospective des années 2010 au cinéma ! ★ Soutenez-nous sur uTip ► https://utip.io/mrbobine ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine C’était le 4 janvier dernier, nous étions jeunes, nous étions fous, nous pensions qu’il ne nous faudrait pas plus de deux ou trois podcast pour parler des années 2010 au cinéma… Après 18 heures cumulées de live étalées sur neuf mois durant une année 2020 en forme de rouleau compresseur, c’est sur les rotules que nous allons enfin achever cette titanesque rétrospective des années 2010 au cinéma. Et encore une fois, nous avons battu un nouveau record puisque cet ultime podcast de la série atteint la spectaculaire durée de quatre heures, et ce sans aucun temps mort... Car encore une fois, 2019 était une année très riche du côté des sorties cinéma notamment avec Once Upon a Time… in Hollywood de Quentin Tarantino, Bienvenue à Marwen de Robert Zemeckis, Gemini Man de Ang Lee, Promare d'Hiroyuki Imaishi, À couteaux tirés de Rian Johnson ou encore Midsommar de Ari Aster... Mais ce ne fut pas seulement une année riche pour les salles de cinéma puisque les services de streaming n'étaient pas en reste. En effet, Martin Scorsese et Eddy Murphy font leur retour sur Netflix avec le crépusculaire The Irishman et le lumineux Dolemite Is My Name de Craig Brewer. Durant cette longue soirée, nous avons également évoqué quelques films qui ont retenus notre attention sans forcément entrer dans notre top comme The Nightingale de Jennifer Kent, une réalisatrice qui s'était déjà fait remarquer avec Mister Babadook que nous avions déjà évoqué lors de notre podcast consacré à l'année 2014. Citons aussi David Copperfield d'Armando Iannucci, un réalisateur peu connu dans nos contrées mais qu'on aime beaucoup. Nous ne pouvions évidemment pas faire l'impasse sur le dernier Michael Bay : Six Underground, Les Misérables de Ladj Ly ou même... John Wick 3... Et oui... Dans cette gigantesque rétrospective des années 2010 au cinéma, nous faisions généralement l'impasse sur les flops, mais cette fois, il y a un film dont nous souhaitions parler : Joker de Todd Phillips qui trône au sommet de notre classement des pires films de 2019, et nous prenons le temps de vous expliquer pourquoi ce Joker nous a un peu fait grincer des dents... Enfin il n'aura échappé à personne que la décennie passée fut marquée par le retour de Star Wars sur les écrans avec la bordélique postlogie. Nous n'avons pas tiré sur l'ambulance, d'autant plus que certains membres de l'équipe n'ont même pas réussi à voir cet Episode IX jusqu'au bout, mais nous souhaitions quand même revenir sur un point assez révélateur des problèmes de cette nouvelle trilogie Star Wars : le plan final de Rey Skywalker (ou Palpatine, je ne sais plus...) devant les deux soleils de Tatooine... Et pour vous retrouver dans cet immense podcast, voici la liste des timecodes par films cités : 00:00 - Introduction 3:31 - Once Upon a Time… in Hollywood de Quentin Tarantino 33:28 - The Irishman de Martin Scorsese 54:07 - Dolemite Is My Name de Craig Brewer 1:09:34 - Midsommar de Ari Aster 1:34:21 - Bienvenue à Marwen de Robert Zemeckis 1:55:11 - Gemini Man de Ang Lee 2:15:19 - Promare d'Hiroyuki Imaishi 2:26:30 - À couteaux tirés de Rian Johnson 2:38:16 - John Wick Parabellum de Chad Stahelski 2:42:41 - Marriage Story de Noah Baumbach 2:45:22 - Spider-Man: Far From Home de Jon Watts 2:47:52 - The Personal History of David Copperfield de Armando Iannucci 2:52:41 - The Nightingale de Jennifer Kent 2:58:28 - Les Misérables de Ladj Ly 3:04:16 - The Lighthouse de Robert Eggers 3:11:26 - Joker de Todd Phillips 3:49:53 - Star Wars, épisode IX : L'Ascension de Skywalker © 2020 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #rétrospective2019 #cinéma

Épisode 15 - Le Maître d'armes de Ronny Yu, l'analyse de M. Bobine

16 octobre 2020

Avec le Maître d'armes, Ronny Yu, Jet Li et Yuen Woo-ping livrent une véritable merveille du cinéma d'art martiaux ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Quand on pense au cinéma d’arts martiaux, on a souvent l’image de films réservés à un public de niche. Et pourtant, il s’agit d’un des genres les plus riches et populaires du cinéma asiatique, mais pas seulement ! Les légendaires coups de tatanes d’acteurs comme Bruce Lee, Cheng Pei-Pei, Sonny Chiba, Jackie Chan, Michelle Yeoh ou Jet Li ont irrigué le cinéma d’action bien en dehors des frontières de l’Asie et ont marqués des générations de spectateurs dans le monde entier. Parmis les nombreux chef d’œuvres du genre, j’ai choisi de revenir sur une œuvre particulièrement attachante qui est sortie il y a plus de 14 ans : Le Maître d’armes. Considéré par de nombreux fans comme une réussite majeure, Le maître d’armes est avant tout le fruit de la collaboration entre l’acteur Jet Li, le réalisateur Ronny Yu et le chorégraphe Yuen Woo-ping. Trois artistes qui auront donner le meilleur d’eux mêmes sur cette œuvre atypique à plus d’un titre. Et c’est justement au travers des leurs apports respectifs que nous allons tenter de comprendre comment ce trio est parvenu à livrer une véritable merveille du genre. Le Maître d'armes de Ronny Yu : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Yoan Orszulik Le Maître d'armes : Réalisé par Ronny Yu Avec Jet Li, Nathan Jones, Sun Li, Nakamura Shidō II Genre : arts martiaux © 2020 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #JetLi #RonnyYu

Épisode 16 - Le Voyeur de Michael Powell, l'analyse de M. Bobine

6 novembre 2020

Et si le Voyeur de Michael Powell était le mètre étalon du giallo et du slasher ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Si l'on en croit un dialogue du quatrième volet de la saga Scream de Wes Craven, ce ne serait ni le Halloween de John Carpenter, ni Massacre à la tronçonneuse de Tobe Hooper ni même Psychose d'Alfred Hitchcock qui sont à l'origine de la vague de slasher-movies qui a déferlée sur l'Amérique à partir des années 70, mais le film britannique Le Voyeur de Michael Powell sorti en 1960, le premier film qui fait littéralement épouser le point de vue d'un tueur au spectateur. Car le personnage central du Voyeur est un tueur qui comme Norman Bates dans Psychose, est un jeune homme qui a quelques problèmes avec ses géniteurs au point de devenir un assassin. Et pourtant, si Le Voyeur a inspiré de nombreux réalisateurs comme John Carpenter, Martin Scorsese, ou encore Francis Ford Coppola, c’est le film qui va transformer le plus célèbre réalisateur anglais après Hitchcock en persona non grata des productions et des critiques. En effet, Le Voyeur va briser la carrière de Michael Powell pendant 20 ans. J'en profite pour vous signaler que ce nouvel épisode est écrit par Vincent Capes qui anime la chaîne YouTube Zo Anima qui propose de nombreuses analyses passionnantes sur le cinéma, et je vous invite bien évidemment à vous abonner : https://www.youtube.com/channel/UCCjMm8Z-g8AyGEmUz8cGZiQ Le Voyeur de Michael Powell : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Vincent Capes Le Voyeur : Réalisé par Michael Powell Avec Karlheinz Böhm, Anna Massey, Maxine Audley, Moira Shearer Genre : thriller © 2020 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #LeVoyeur #MichaelPowell

Épisode 17 - On a écrit un bouquin sur le cinéma des Wachowski !

20 novembre 2020

On a beau être de grands fans de l’œuvre des sœurs Wachowski, nous n'avions jamais consacré de grosse analyse à leur cinéma... Jusqu'à ce que nous soyons contacté par l'éditeur Third Editions ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Il y a deux ans, nous avions le projet d’écrire un épisode assez ambitieux consacré à l’ensemble de la carrière des sœurs Wachowski. Le souci, c'est le sujet est tellement vaste qu’il nous était impossible de faire rentrer tous nos axes de réflexion dans un seul épisode du Ciné-club de M. Bobine… Mais pendant qu’on pédalait dans la semoule sur l’écriture de ce texte, nous avons été contacté par la maison d'édition Third Editions qui nous proposait de collaborer avec eux sur l'écriture d'un ouvrage consacré au cinéma. Comme on peinait à synthétiser nos pages de notes sur le cinéma des sœurs Wachowski dans un épisode du Ciné-club de M. Bobine, on s’est dit qu’on pourrait au contraire les développer dans un livre d'analyse d’environ 200 pages, et nous avons donc proposé ce sujet à nos interlocuteurs de Third Editions. Une grosse année d'écriture plus tard, nous somme très fier de vous présenter le résultat de cette collaboration : "L'œuvre des Wachowski. La matrice d’un art social" écrit par trois membres de l'équipe du Ciné-club de M. Bobine : Yoan Orszulik, Aurélien Noyer et Julien Pavageau. En revanche, il faudra attendre encore un peu pour pouvoir lire notre ouvrage... Et oui, initialement notre éditeur souhaitait profiter de la sortie du quatrième volet de la saga Matrix pour la date de lancement de notre livre... Sauf que pandémie oblige, Matrix 4 a été repoussé à décembre 2021, tout comme notre livre d'analyse sur la filmographie commune de Lana et Lilly Wachowski... Mais bon, comme on piaffait d’impatience de vous causer de ce projet, on s’est permis d’ouvrir une petite parenthèse entre deux épisodes pour vous le présenter brièvement, et de toute façon, on en reparlera plus en détail avant décembre 2021 ! © 2020 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #wachowski #ThirdEditions

Épisode 18 - Sleepy Hollow de Tim Burton, l'analyse de M. Bobine

4 décembre 2020

Et si c'était avec Sleepy Hollow que la filmographie de Tim Burton est vraiment partie en vrille ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Souvenez-vous, dans les années 90, Tim Burton était un de ces réalisateurs dont chaque nouveau film était attendu avec impatience, quelque soit son sujet. Il faut dire qu'avec des films aussi singuliers qu'Edward aux mains d'argent, Beetlejuice, Ed Wood ou encore ses deux Batman, il a rapidement suscité la curiosité puis l'admiration de la critique et du public. Pourtant, depuis quelques années, le cinéma de Burton ne fait plus rêver grand monde... Certes, il n’y a pas vraiment de consensus sur le moment où Tim Burton a perdu son statut de réalisateur adoré pour devenir une figure du passé dont on ne se déplace même plus pour voir les films. La majorité situe ce point de bascule quelque part dans les années 2000. Sleepy Hollow, sorti en 1999, est généralement associé à la “bonne période” de Tim Burton. Le film est rarement cité comme un des meilleurs du cinéaste, même si tout le monde s’entend pour vanter son visuel somptueux. Au pire, il est vu comme une œuvre illustrative, jolie à regarder mais un peu creuse, dans la lignée de son opus précédent, Mars attacks. Mais ce serait oublier qu’entre ces deux films, il s’est quand même écoulé trois ans. Une période pendant laquelle il s’est passé un petit quelque chose qui pourrait bien avoir affecté le cinéaste plus profondément qu’on ne l’a cru à l’époque. Du coup, dans cet épisode, on va se demander si, plutôt que La planète des singes ou Big Fish, Sleepy Hollow ne serait pas en fait LE film de la bascule ? Celui où le cinéma de Tim Burton a vraiment commencé à perdre la boule ? Sleepy Hollow de Tim Burton : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Cyril Rolland Sleepy Hollow : Réalisé par Tim Burton Avec Johnny Depp, Christina Ricci, Miranda Richardson Genre : fantastique, horreur Adapté de The legend of Sleepy Hollow de Washington Irving © 2020 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #TimBurton #SleepyHollow

Épisode 1 - Stephen Sommers et Van Helsing, la centième analyse de M. Bobine

26 février 2021

Une déclaration d'amour inconditionnel à Van Helsing et à son réalisateur : Stephen Sommers ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Vous pouvez désormais soutenir le Ciné-club de M. Bobine en décorant vos murs avec les magnifiques estampes de célèbres kaijus du cinéma réalisées par notre partenaire Nicolas Amoroso de Stamnos Edition ! ► https://stamnos-edition.com/products/godzilla-encadree-30x24 C'est en découvrant une chouette série B d'horreur sur un bateau que je suis tombé la première fois sur le nom de Stephen Sommers. Ce film, c'était Un cri dans l'océan (ou Deep Rising en VO) qui fit malheureusement un flop au box office à sa sortie en 1998. Mais un an plus tard, Stephen Sommers refait surface avec La Momie, et cette fois, c'est un carton. Le réalisateur sors de son relatif anonymat et est désormais catalogué dans la catégorie des réalisateurs à succès à la solde des studios. Deux ans après, son Le retour de la Momie casse à nouveau la baraque, mais certains commencent à se poser des questions sur Sommers, et notamment sa propension à en faire toujours plus, peut-être un peu trop, notamment avec les CGI... Arrive alors Van Helsing avec son cortège de monstres et cette fois, le public ne suit plus. Le film est un échec financier qui va marquer une rupture brutale dans la fulgurante carrière de Stephen Sommers. Pourquoi ce film sur lequel la Universal reposait tous ses espoirs fut un tel flop au box office ? Van Helsing est-il vraiment un gros nanar à 160 millions de dollars ? Un film incompris ? Les deux à la fois ? Ou autre chose ? Et surtout, Stephen Sommers est-il vraiment un mercenaire à la solde des studios qui a mal tourné ? Nous vous proposons quelques éléments de réponse dans ce nouveau Ciné-club de M. Bobine assez exceptionnel, puisqu'il s'agit de notre centième épisode ! En complément, je vous recommande l'excellente vidéo de @tyllbiss qui décortique la bande originale survoltée qu'Alan Silvestri a composé pour Van Helsing : https://www.youtube.com/watch?v=RYKOMibyP6E Van Helsing : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Julien Pavageau, Cyril Rolland Van Helsing : Réalisé par Stephen Sommers Avec Hugh Jackman, Kate Beckinsale, Richard Roxburgh Genre : Horreur, fantastique, aventure, action... © 2021 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #StephenSommers #VanHelsing

Épisode 2 - Les estampes de Stamnos Edition en partenariat avec M. Bobine

8 mars 2021

Rendez-vous sur www.stamnos-edition.com pour découvrir l'estampe de Godzilla ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Soutenez-nous sur Takotak ► https://www.takotak.co/chaine/298 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Si vous nous suivez régulièrement, vous savez qu’on ne fait pas souvent de partenariats, non pas pour des raisons d’éthique personnelle, mais surtout par manque de temps… Mais de temps à autre, on reçoit une proposition vraiment chouette qui mérite qu’on se bouge un peu le popotin. C’est le cas de celle que nous a envoyé Nicolas Amoroso, un artiste qui a fondé la toute jeune micro-entreprise Stamnos Editions. il y réalise de magnifiques estampes japonaises à partir de gravures sur bois, ce qui, au passage, représente un boulot absolument monstrueux. Quelle rapport avec le Ciné-club de M. Bobine me direz-vous ? Et bien, Nicolas réalise également des estampes inspirées de la culture populaire, et donc la nouvelle série qu’il propose en partenariat avec le Ciné-club de M. Bobine est basée sur les kaijus célèbres du cinéma, dont le roi incontesté est évidemment Godzilla ! (ouais, je viens de recevoir la mienne et elle est vraiment mortelle !) En achetant une de ces estampes, vous soutiendrez un artiste très talentueux, mais aussi le Ciné-club de M. Bobine puisque nous recevons un pourcentage sur chacune des ventes. et en prime, ça vous permet d’agrémenter vos murs avec une illustration super classe du plus grand monstre de la pop-culture mondiale. pour faire vos emplettes ou pour plus d’informations, c'est par ici : https://stamnos-edition.com/products/godzilla-encadree-30x24 © 2021 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #godzilla #estampe

Épisode 3 - Withnail and I de Bruce Robinson, l'analyse de M. Bobine

19 mars 2021

Avec Withnail and I, Bruce Robinson a signé une stoner comedy totalement culte... sauf en France. ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Withnail and I, suit les aventures de deux aspirants acteurs (Withnail et le narrateur) qui végètent dans un appartement londonien insalubre. Victimes d’un vague éclair de lucidité, ils décident subitement qu’ils doivent se mettre au vert afin de pouvoir repartir sur de bonnes bases. Withnail étant issu d’une riche famille bourgeoise, ils rendent donc visite à son oncle Monty pour lui emprunter les clés d’un cottage perdu dans la campagne britannique. En bons citadins, ils déchantent très vite lorsqu’ils s’aperçoivent que le cottage n’a pas d’électricité, pas d’eau courante, pas de provisions et que les habitants du coin ne sont pas particulièrement accueillants. A première vue, avec ce postulat relativement simple, on pourrait se dire que Withnail and I est une stoner comedy assez classique que l’on pourrait ranger aux côtés de films comme Up In Smoke, Mec, elle est où ma caisse ?, Pineapple Express ou même The Big Lebowski. Mais par bien des aspect, le film de Bruce Robinson est un film assez singulier qui se démarque radicalement des codes du genre, au point même qu’on pourrait le rapprocher de Las Vegas Parano de l’auteur américain : Hunter S. Thompson et de son adaptation au cinéma par Terry Gilliam. Withnail and I de Bruce Robinson : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer Withnail and I : Réalisé par Bruce Robinson Avec Richard E. Grant, Paul McGann, Ralph Brown, Richard Griffiths Genre : Stoner comedy © 2021 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #withnail #comédie

Épisode 4 - Le mythe de Bruce Lee, l'analyse de M. Bobine

23 avril 2021

Comment Bruce Lee est-il devenu un véritable mythe cinématographique ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine 47 ans après sa mort, Bruce Lee continue d’influencer toutes les strates de la pop culture : cinéma, comics, manga, jeux vidéos... On en retrouve des échos dans la série Warrior, les futurs Mortal Kombat et Shang-Chi, et son apparition controversée dans le Once Upon a Time… in Hollywood de Quentin Tarantino ne vous aura évidemment pas échappée. Et pourtant, avec seulement quatre films et demi, The Big Boss, La Fureur de vaincre, La Fureur du dragon, Opération Dragon et Le Jeu de la mort, son film inachevé, le nom de Bruce Lee aurait parfaitement pu tomber dans l'oubli. Et pourtant, c'est bien après sa tragique disparition que l'acteur est devenu un véritable phénomène mondial. Mais au delà de l'image du combattant arrogant et indestructible qu’il a popularisée, se trouve une personnalité plus complexe, fruit d’un parcours exceptionnel à mi-chemin entre Orient et Occident, auquel s’ajoute une volonté de transmettre son savoir au plus grand nombre, aussi bien dans des cours d’arts martiaux que sur un écran de cinéma. Une démarche communicative qui aura permis à celui qu’on surnomme le petit dragon de devenir un véritable mythe universel. Le mythe de Bruce Lee : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Yoan Orszulik © 2021 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #BruceLee #Dragon

Épisode 6 - Judd Apatow : mode d'emploi, l'analyse de M. Bobine

25 juin 2021

Comment Judd Apatow est-il devenu le roi de la comédie américaine ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Même si vous n'êtes pas un fanatique de comédies américaines, vous êtes forcément tombé un jour sur un film ou une série produite par Apatow. En effet, Depuis sa création en 1999, Apatow Productions est à l’origine de 25 films et 5 séries télé (soit un peu plus que le Marvel Cinematic Universe) dont certains firent un carton au box office comme En cloque mode d’emploi, Supergrave, Présentateur vedette : la légende de Ron Burgundy, 40 ans toujours puceau, Ricky Bobby Roi du circuit et surtout Mes meilleures amies en 2011, qui a récolté quasiment 300 millions de dollars à l’international ainsi que deux nominations aux oscars. En cumulant les casquettes de scénariste, réalisateur et surtout de producteur, Judd Apatow s'est imposé dans les années 2000 comme le roi de la comédie américaine. Ce surnom aussi probablement de sa capacité à détecter le talent comique avant tout le monde. De Seth Rogen à Pete Davidson, en passant par Jason Segel ou Lena Dunham, les petits jeunes qu’il a révélés au grand public se comptent par dizaines. Quand lui-même avait la vingtaine, ses meilleurs potes avaient pour noms Adam Sandler, Jim Carrey et Ben Stiller. Une fois leur carrière bien lancée, ils chercheront tous à collaborer avec lui, parfois sur les mêmes projets. Et leurs registres d’humour, assez différents les uns des autres, se révéleront étonnamment compatibles avec celui d’Apatow. Certains humoristes ou réalisateur comédies affirment qu'il est de plus en plus difficile d'être irrévérencieux à l'heure du politiquement correct (une complainte un brin opportuniste puisqu'elle sert la plupart du temps de carburant pour un bon paquet de spectacles...). C'est le cas par exemple de Todd Phillips, réalisateur de la trilogie Very Bad Trip, dont la filmographie a connu un virage à 180° avec son Joker... Mais ce n'est pas le cas de Judd Apatow qui a su évoluer avec son temps sans pour autant donner dans la compromission. Dans ce nouvel épisode (très long, mais toujours moins long qu'un film d'Apatow) du Ciné-club de M. Bobine, nous allons tenter de comprendre le secret de la longévité de Judd Apatow, une longévité d'autant plus exceptionnelle qu'il n’a pas toujours été habitué à être au sommet du game, loin s’en faut. Pendant une bonne partie de sa carrière, il s’est même trimbalé une réputation de poissard invétéré. Judd Apatow : mode d'emploi : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Cyril Rolland © 2021 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #Apatow #comédie

Épisode 7 - Hiruko the Goblin de Shin'ya Tsukamoto, l'analyse de M. Bobine

16 juillet 2021

Hiruko the Goblin est-il vraiment à part dans la filmographie de Shin'ya Tsukamoto ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Si je vous dit "Tetsuo", alors vous penserez probablement à Akira, le chef d’œuvre de Katsuhiro Otomo. Mais certains d'entre vous penseront peut-être au Tetsuo de Shin'ya Tsukamoto, réalisateur culte qui, avec beaucoup d'énergie, d'inventivité et à peine 2 yen en poche, met en scène ses visions cauchemardesques depuis plus de 3 décennies. Au milieu de films plus ou moins frappadingues comme Tokyo Fist, la trilogie Tetsuo ou A snake of June, Hiruko the Goblin fait presque office d'exception. En effet, pour son second film, Tsukamoto quitte un temps le cinéma indépendant, les univers urbain et anxiogènes pour faire un film d'horreur et d'aventure en pleine campagne avec de gros moyens. Alors oui, Hiruko the Goblin est très certainement le film le plus mainstream de Shin'ya Tsukamoto, mais ça ne veut pas dire que ce film ne porte pas la marque de son auteur, au même titre que ses œuvres les plus radicales. Nous allons donc voir comment le réalisateur de Tetsuo a passé avec brio le cap de la commande de studio tout en y infusant sa personnalité atypique. Hiruko the Goblin de Shin'ya Tsukamoto : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Yoan Orszulik et Aurélien Gouriou-Valès Hiruko the Goblin : Réalisé par Shin'ya Tsukamoto Avec Kenji Sawada, Masaki Kudou Genre : Horreur, fantastique Adapté de Yōkai Hunter de Daijirō Morohoshi © 2021 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #Hiruko #Tsukamoto

Épisode 8 - Scott Pilgrim d'Edgar Wright, l'analyse de M. Bobine

30 juillet 2021

Et si l'adaptation de Scott Pilgrim par Edgar Wright était plus réaliste qu'elle n'y paraît ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Cette année, les fans d'Edgar Wright sont particulièrement gâtés. En effet, en attendant la sortie de son nouveau long-métrage de fiction, Last Night In Soho prévu pour la fin de l'année, le réalisateur britannique nous offre en prime le documentaire The Sparks Brothers, sur la carrière des mythiques Sparks, deux frangins complètement barrés qui produisent depuis plus de cinquante ans une pop baroque et inclassable. Du coup, on s'est dit que la sortie de ce documentaire était l'occasion parfaite de revenir sur le seul film d'Edgar Wright qui met ouvertement en scène des musiciens, à savoir son adaptation du comic-book de Bryan Lee O'Malley : Scott Pilgrim vs The World. De notre côté, on va faire une petite pause pour les vacances et on se retrouve en septembre (ou un peu plus tard...) et en attendant Last Night in Soho, allez voir The Sparks Brothers au cinéma ! Scott Pilgrim d'Edgar Wright : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer Scott Pilgrim vs the world : Réalisé par Edgar Wright Avec Michael Cera, Mary Elizabeth Winstead Genre : comédie, romance, action, fantastique Adapté de Scott Pilgrim de Bryan Lee O'Malley © 2021 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #edgarwright #scottpilgrim

Épisode 9 - Le bouquin, les lives, Tipeee... M. Bobine fait sa rentrée !

8 septembre 2021

M. Bobine fait sa rentrée, c'est l'occasion de vous donner quelques nouvelles de la chaîne ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Dans ces petites actualités de la chaîne, il va être question du fameux logo du CNC qui ouvre nos deux dernières vidéos et dont je n'avais pas eu le temps de vous causer avant les vacances, de la sortie prochaine de notre livre intitulé L’œuvre des Wachowski : la matrice d'un art social, des lives auxquels nous allons certainement régulièrement participer sur la chaîne Macguffin Maker, et évidemment, on revient un peu plus en détail sur notre départ de Tipeee après les déclarations de ses deux dirigeants... Avant l'arrivée (prochaine) d'un nouvel épisode du Ciné-club de M. Bobine, on vous invite bien à jeter un œil au tout premier live Macguffin Maker auquel nous avons participé ! Il y a été question du retour sur les écrans des saga Ghostbusters avec le nouvel opus : Ghostbusters: Afterlife, mais nous revenons aussi longuement sur le destin tragique du reboot de Paul Feig en 2016. Nous avons évidemment parlé de la saga Matrix et de l'arrivée prochaine de The Matrix Resurrections (dont les toutes premières images nous ont pour le moins émoustillés !). Nous avons également longuement parler de Dune et de l'adaptation de Denis Villeneuve qui divise déjà les chroniqueurs et dont il sera très certainement question dans un prochain live ! Et évidemment, comme nous quittons Tipeee, si vous souhaitez continuer à nous soutenir, alors je vous invite à reporter votre contribution sur la plateforme uTip ! Quelques liens : La chaîne de MacGuffin Maker : https://www.youtube.com/c/MacGuffinMaker Le premier live auquel nous avons été invité : https://www.youtube.com/watch?v=aHX8SvfxGi4 Le site internet de Phénomènes Films : https://www.phenomenesfilms.com/ Les travaux de Guy Pascal Vallez, (aka Gax) : https://www.artstation.com/gax L'interview des co-gérants de Tipeee : http://urlr.me/XLh7B L'article de Numerama : http://urlr.me/jgGBb © 2021 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine !

Épisode 11 - Platoon d'Oliver Stone, l'analyse de M. Bobine

22 octobre 2021

Platoon est-il un film politique ? Autobiographique ? Mythologique ? Tout ça à la fois ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine De Francis Ford Coppola avec Apocalypse Now à Stanley Kubrick et son Full Metal Jacket, la guerre du Vietnam a inspiré les plus grands cinéastes. Mais pour ce qui est du réalisme, personne ne peut rivaliser avec le Platoon d’Oliver Stone. Attention, c’est pas moi qui dit, c’est Steven Spielberg en personne ! Difficile de donner tort à tonton Steven quand on sait que son confrère a largement puisé dans ses souvenirs de soldat pour écrire son histoire. À la sortie de Platoon, les vétérans du Viêt Nam n’auront pas manqué de le célébrer comme le film qui a su le mieux reconstituer leur quotidien sur le front, y compris dans ses aspects les moins reluisants. Mais la justesse du regard d'Oliver Stone suffit-elle à expliquer pourquoi le premier volet de la “trilogie vietnamienne” continue encore aujourd’hui de marquer les esprits ? Ne faut-il pas aller chercher aussi du côté de sa dimension politique ? Voire allégorique et même - n’ayons pas peur des mots - mythologique ? Car Platoon, mine de rien, n’est pas sans rappeler quelques récits remontant à la Haute Antiquité, ainsi que le monumental Avatar de James Cameron dont on attend fébrilement les suites. Platoon d'Oliver Stone : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Cyril Rolland Platoon : Réalisé par Oliver Stone Avec Charlie Sheen, Tom Berenger, Willem Dafoe Genre : guerre © 2021 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #Platoon #OliverStone

Épisode 12 - Matrix : les résonances, l'analyse de M. Bobine

12 novembre 2021

Titre putaclic : Avec Matrix, les Wachowski ont-elles tout piqué à Dark City ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Cet épisode du Ciné-club de M. Bobine est adapté d’un des chapitres de notre ouvrage édité chez Third Editions : "L’œuvre des Wachowski, la matrice d’un art social" disponible en librairie à partir du 18 novembre et actuellement en vente sur le site de @ThirdEds ! Vous pouvez l'acquérir en édition classique ► https://utip.io/s/qpSAON Ou en édition First Print (exclusive au site de Third Editions) ►https://utip.io/s/kfKFij En 2018, Lilly et Lana Wachowski vendaient les bureaux de leur maison de production à Chicago, mettant un terme à leur carrière commune au cinéma. En parallèle la Warner œuvrait sur une suite ou un reboot de la juteuse saga Matrix sous la plume de Zak Penn, un projet qui ne suscitait pas beaucoup d'enthousiasme chez les cinéphiles. Mais en 2019, l'annonce du retour de Lana Wachowski (seule cette fois) à la réalisation et au scénario de Matrix Resurrections reçoit un bin meilleur accueuil de la part des cinéphiles, même si ce retour semble pour le moins innatendu. Et pourtant, deux décennies après la sortie triomphale du premier volet de la saga Matrix, sorti en 1999, on retrouve des résonances entre aujourd'hui et les années 90, un contexte étrangement similaire dans lequel la sortie d'un nouvel opus de la saga Matrix est loin d'être totalement incongru. En effet, l'une des particularité du premier opus de la mythique saga des soeurs Wachowski, c'est qu'il multiplie les connexions avec son époque, que ce soit dans ses thématiques ou son esthétique, au point qu'on pourrait avoir un petit sentiment de "déjà-vu". Car comme souvent avec les succès surprises au box office, les accusations de plagiat ne sont jamais loin. Par exemple beaucoup de spectateurs, mais aussi de critiques se sont amusés à recensé les similitudes entre Matrix et Dark City d'Alex Proyas. Alors est-ce que Matrix est devenu le film charnière de toute une époque en copiant sur ses petits copains ? Ou bien, comme vous vous en doutez, c’est plus compliqué que ça ? Pour le découvrir, M. Bobine vous invite à voyager au coeur des années 90, au travers des films comme Total Recall, Passé Virtuel, Johnny Mnemonic, Judge Dredd, Demolition Man et même le Titanic de James Cameron, pour essayer de comprendre d'où vient Matrix, et ce qu'il représente tant pour la décénnie des 90's que pour la notre. Matrix : les résonances : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Julien Pavageau Matrix : Réalisé par Lana et Lilly Wachowski Avec Keanu Reeves, Laurence Fishburne, Carrie-Anne Moss, Hugo Weaving Genre : science-fiction © 2021 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #Matrix #Wachowski 00:00 - Introduction 3:10 - Générique et promotion du livre 3:42 - Les résonances 5:56 - Il y a bien longtemps dans une décennie lointaine, très lointaine 8:42 - Cyberpunk 10:46 - Pilule rouge 14:18 - Matrix Vs Dark City 19:00 - Passé et futur 23:24 - Mondes imaginaires 29:05 - Aliénation 33:17 - La fin d’un monde 39:50 - rhizome 41:45 - Conclusion

Épisode 13 - Matrix Resurrections, l'avis à chaud de M. Bobine

28 décembre 2021

Lana Wachowski a-t-elle réussi à rebooter la matrice dans Matrix Resurrections ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Il nous vous a pas échappé que quelques jours avant Noël, sortait un film qui avait la prétention de ressusciter une saga mythique vieille de près de 20 ans : Matrix Resurrections de Lana Wachowski. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce quatrième volet inattendu des aventures de Neo et Trinity a radicalement divisé les spectateurs, qu’ils soient fan ou non de la trilogie des sœurs Wachowski. Mais qu’en est-il de l’équipe du ciné-club de M. Bobine ? Et bien le 23 décembre 2021, nous avons été invité par le cinéma Le Vox situé dans la charmante petite ville de Mayenne à présenter une séance de Matrix Resurrections, le nouveau film Lana Wachowski. Nous avons donc dépêché Aurélien Noyer, Yoan Orszulik et Julien Pavageau en Mayenne, ce qui tombe plutôt bien puisque ce sont justement les auteurs du livre L’Œuvre des Wachowski: La matrice d'un art social édité chez Third Editions. Je m’excuse pour la qualité de l’image et du son, j’ai fait avec les moyens du bord, j’en profite pour remercier Yann Ralec pour m’avoir envoyé les quelques images qu’il a pu filmer. On remercie également Thomas Pouteau d’avoir organisé cette séance avec nous, souvenez-vous, c’était déjà lui qui nous avait invité à présenter une séance de Snowpiercer, du coup on était ravis de revenir. Et enfin, on remercie très chaleureusement tous les spectateurs qui ont participé au passionnant débat que vous allez à votre tour découvrir ! Matrix Resurrections de Lana Wachowski : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Matrix Resurrections : Réalisé par Lana Wachowski Avec Keanu Reeves, Carrie-Anne Moss, Yahya Abdul-Mateen II, Jonathan Groff, Jessica Henwick Genre : science fiction © 2021 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #Matrixresurrections #Wachowski

Épisode 14 - Cœur de tonnerre de Michael Apted, l'analyse de M. Bobine

21 janvier 2022

Cœur de tonnerre de Michael Apted est-il un polar des 90's comme les autres ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Sorti en salles il y a 30 ans tout rond, Cœur de tonnerre est un film qui est rapidement tombé dans l’oubli. Pour ceux qui ont une vague idée du truc, il doit probablement se trimbaler une réputation de thriller pépère du dimanche soir, puisque c’était une des spécialités de son réalisateur, Michael Apted. Pourtant, Cœur de tonnerre mérite largement d’être redécouvert, et cela pour tout un tas de bonnes raisons. Déjà parce qu’il y a du beau monde au générique, et pas seulement au niveau du casting (Roger Deakins à la photo, James Horner à la musique, Robert de Niro à la production). Mais aussi parce qu’il prend ses distances avec l’imagerie de l’Indien de la Frontière habituellement véhiculée par Hollywood, de La chevauchée fantastique à Danse avec les loups. Cœur de tonnerre se déroule en effet longtemps après la fin des guerres indiennes, dans une réserve abandonnée par les pouvoirs publics et livrée à la corruption. S’inspirant d’événements ayant réellement eu lieu dans les années 70 (l’affaire Leonard Peltier notamment), le réalisateur et son scénariste John Fusco n’hésitent pas à pointer du doigt une politique d’État source selon eux de terribles injustices. Cet épisode nous donne donc l’occasion de tenter une petite réhabilitation du travail de Michael Apted, décédé il y a un an dans une certaine indifférence. Certes, on lui doit une poignée de films complètement anecdotiques. Mais, quand le sujet le passionnait vraiment, il pouvait donner naissance à des œuvres puissantes et singulières. C’est clairement le cas de ce Cœur de tonnerre, dont le propos militant est rendu encore plus explicite par un documentaire à charge réalisé dans la foulée et qui vaut tout autant le coup d'œil : Incident à Oglala. Cœur de tonnerre de Michael Apted : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Cyril Rolland Cœur de tonnerre : Réalisé par Michael Apted Avec Val Kilmer, Graham Greene, Sam Shepard Genre : Policier © 2022 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #MichaelApted #natifamericains

Épisode 15 - Matrix Resurrections : de l'autre côté du miroir, l'analyse de M. Bobine

11 février 2022

Avec Matrix Resurrections, Lana Wachowski renie-t-elle la trilogie Matrix ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine En 1999, Matrix faisait exploser le box-office, propulsant Lana et Lilly Wachowski sur le devant de la scène hollywoodienne. En 2003, Matrix Reloaded a dérouté autant qu'il était attendu, scindant la communauté des fans en deux groupes : ceux qui ont rejetés ce second volet, et ceux qui se sont mis à explorer plus en profondeur le labyrinthe symbolique conçu par les sœurs Wachowski. Enfin, toujours en 2003, Matrix Revolutions a beau avoir été accueilli dans une certaine indifférence, il offrait une fin définitive et opératique à la saga. Mais peut-on vraiment clore un récit ? Ce n'est visiblement pas l'avis de Lana Wachowski qui, deux décennies après Matrix, revient aux commandes de ce Matrix Resurrections pour le moins inattendu. Comme Reloaded en son temps, ce quatrième opus a profondément divisé la communauté des fans de la trilogie. Pour beaucoup, il s'agit d'un film un brin cynique, un film méta qui mettrai en scène son propre contexte de production et qui indiquerait que Lana Wachowski serait revenue aux commandes de la franchise pour protéger son héritage contre les exécutifs de la Warner Bros qui n'ont pas hésité à lancé un nouveau Matrix dans le dos des créatrices de la saga. Et pourtant, Lana affirme être revenue de son plein gré dans cet univers pour l'aider à surmonter le décès de ses parents. Ainsi, Matrix Resurrections serait au contraire une œuvre éminemment personnelle. Dès lors, on peut se poser cette question : Lana Wachowski serait-elle en train de renier l’œuvre qui la fait connaître ? Matrix Resurrections serait-il une sorte de sorte de palimpseste, consistant à effacer les traces des trois premiers films pour en donner une nouvelle version ? Personnellement, j'y vois bien plus un film qui s'inscrit non seulement dans la continuité de la saga Matrix mais aussi et surtout dans celle de l'œuvre de Lana Wachowski, de Speed Racer à Sense8 en passant par Cloud Atlas, et même Jupiter Ascending ! Avec Matrix, Matrix Reloaded et Matrix Revolutions, Lilly et Lana Wachowski ont réalisé une trilogie dont la conclusion parfaite excluait l'idée même de faire une suite au cinéma. Matrix Resurrections : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Julien Pavageau, Aurélien Noyer Matrix Resurrections : Réalisé par Lana Wachowski Avec Keanu Reeves, Carrie-Anne Moss, Yahya Abdul-Mateen, Jessica Henwick, Jonathan Groff, Neil Patrick Harris Genre : science fiction © 2022 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #matrix #wachowski

Épisode 16 - Chungking express & Les Anges déchus de Wong Kar-wai, l'analyse de M. Bobine

25 mars 2022

Chungking express & Les Anges déchus, les deux meilleurs films de Wong Kar-wai ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Quand on parle de cinéma Hongkongais, on pense avant tout à des cinéastes comme Tsui Hark ou John Woo a qui nous avions d'ailleurs déjà consacré des épisodes du Ciné-club de M. bobine. En revanche, on pense peut-être un peu moins à Wong Kar-wai qui, avant d’être un habitué des tapis rouge de festivals occidentaux, s'était distingué chez lui par ses chroniques de jeunes adultes au ton mélancolique, au style pop et énergique et au ton très libre tant visuellement que narrativement. Pour y remédier, aujourd’hui nous allons nous intéresser à son diptyque constitué de l'incontournable Chungking express et du moins célèbre mais pourtant tout aussi passionnant Les Anges déchus. Deux films emblématiques des années 90 à la forme très stylisée mais toujours en parfaite adéquation avec les émotions des personnages, ce qui n’est pas une mince affaire car à travers ce diptyque, Wong Kar-wai à non seulement l’ambition de capturer les états d'âme de ses anti-héros, mais aussi ceux de toute la ville de Hong Kong ! Chungking express & Les Anges déchus de Wong Kar-wai : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Gouriou-Vales et Yoan Orszulik Chungking express : Réalisé par Wong Kar-wai Avec Faye Wong, Tony Leung Chiu-wai, Brigitte Lin, Takeshi Kaneshiro Genre : comédie romantique Les Anges déchus : Réalisé par Wong Kar-wai Avec Leon Lai, Takeshi Kaneshiro, Michelle Reis, Charlie Yeung Genre : neo-noir © 2022 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #wongkarwai #chungkingexpress

Épisode 1 - Munich de Steven Spielberg, l'analyse de M. Bobine

29 avril 2022

Pourquoi Steven Spielberg s'inspire du cinéma des années 70 dans Munich ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Munich est très certainement le film le plus controversé de Steven Spielberg moins à cause de ses qualités proprement cinématographiques que du sujet qu’il aborde. Néanmoins, il y a un point sur lequel les critiques et les spectateurs tombent tous d'accord : le film ressemble formellement aux thrillers politiques des années 60-70, et pas seulement via sa profusion de vestes en jean et de cols pelle à tarte. Alors certes, à partir du moment où n’importe quel blockbuster avec une équipe de marketing suffisamment talentueuse peut se voir qualifier d’”hommage au thriller des années 70” (oui Captain America 3, c'est de toi qu'on parle), on a bien compris qu’il ne suffisait pas de le dire pour que ça ait un quelconque intérêt ! Et ça tombe bien, puisqu’au-delà de l’aspect purement cosmétique, notre Steven a ici plus d’une idée derrière la tête… M. Bobine vous invite donc à un voyage temporel aux travers des nombreuses influences de Steven Spielberg spécifiques à Munich comme Chacal de Fred Zinnemann, Black Sunday de John Frankenheimer, Z de Costa-Gavras,La Bataille d’Alger de Gillo Pontecorvo et le cinéma de William Friedkin, mais aussi les influences qui planent sur toute la filmographie de Spielberg comme le cinéma de John Ford, d'Alfred Hitchcock ou celui de John Frankenheimer ! Munich de Steven Spielberg : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Antoine Verley En bonus, la liste des vidéos citées et recommandée dans l'épisode : - La Bataille d'Alger : histoire d'un film politique par @Cinemaetpolitique https://www.youtube.com/watch?v=dUO-0BQYxv8&vl=fr - La nourriture chez Steven Spielberg par @enfantsterribles1965 https://www.youtube.com/watch?v=4G5VN24u5FQ - Retrospective Steven Spielberg par Pierre Berthomieu https://vimeo.com/130761280 - @LeCinemaestmort Dario Argento par Jean-Baptiste Thoret https://www.youtube.com/watch?v=zfnvJXGvMSA -Le meilleur film médiéval de tous les temps par @bolchegeek https://www.youtube.com/watch?v=JaS8W3HMKY8 Les Aventuriers de l'arche perdue, Dans la lumière du projecteur par @LeCinematographeur https://www.youtube.com/watch?v=fYRn4NlDH_E Munich : Réalisé par Steven Spielberg Avec Eric Bana, Daniel Craig, Ciarán Hinds, Mathieu Kassovitz, Geoffrey Rush Genre : thriller, drame historique Adapté de Vengeance de George Jonas © 2022 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #spielberg #munich

Épisode 2 - L'Europe de Hayao Miyazaki, l'analyse de M. Bobine

13 mai 2022

Pourquoi l'Europe est-elle un décor aussi important dans l’œuvre de Hayao Miyazaki ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Si je vous demande quel est le point commun entre Le Château de Cagliostro, le Château dans le Ciel, Kiki la petite sorcière, Porco Rosso, Le Château Ambulant et Le Vent se Lève, vous me direz en premier lieu que ce sont tous des films du fondateur du célèbre Studio Ghibli... Mais il y a un autre lien entre tous ces chef d’œuvre de l'animation japonaise : ils sont tous fortement inspiré de la culture et de la géographie européenne. Même des films se déroulant dans un univers de fantasy comme Le Château Ambulant ou le Château dans le Ciel sont construits à partir de villes européennes que Miyazaki à visité et documenté. Certes, ce ne sont pas des inspirations si singulières que ça dans le cinéma et la culture japonaise, car ce regard tourné vers l'occident remonte à loin. Néanmoins, l'Europe de Hayao Miyazaki n'est pas qu'un simple décor à destination d'un public en quête d'aventures exotiques, c'est une véritable fresque qui, sous ses décors magnifiques et ses aventures picaresques, nous racontent une histoire nettement plus sombre. Et pour l'occasion, notre camarade @LeCinematographeur est venu nous prêter main forte ! Et en parallèle de notre vidéo, il va tenter de répondre sur sa chaîne à cette épineuse question : quel est le plus beau film du monde et pourquoi Le Voyage de Chihiro ? C'est par ici que ça se passe : https://www.youtube.com/watch?v=-ysZFUQsmc8 L'Europe de Hayao Miyazaki : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Lucas Mario © 2022 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #miyazaki #ghibli

Épisode 4 - Le Superman de Zack Snyder, l'analyse de M. Bobine

3 juin 2022

Pourquoi diable Zack Snyder fait-il un Christ de son Superman ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Si Zack Snyder est un cinéaste qui divise les cinéphiles, dans l'équipe du Ciné-club de M. Bobine, le bonhomme fait l'unanimité contre lui... Et pourtant, nous sommes fascinés par son cinéma, et en particulier par sa trilogie super-héroïque composée de Man of Steel, Batman v Superman et de Justice League (ou plutôt : de Zack Snyder's Justice League). L'une des choses que l'on peut concéder à Snyder sur ces trois film, c'est d'avoir poussé plus loin que quiconque la caractérisation du personnage de Superman. Par exemple, même si les scènes d'actions de Snyder sont vite brouillonnes et pompent la trilogie Matrix dans les grande largeur, il faut reconnaître qu'aucun réalisateur n'avait réussi à mettre à ce point l'emphase sur la puissance phénoménale de Superman, du moins sur grand écran. De la même façon, Superman a plusieurs fois été assimilé à une figure christique, dans Superman Return de Bryan Singer par exemple. Mais aucun cinéaste n'a poussé cette allégorie aussi loin que Zack Snyder, car dans Man of Steel, Superman EST Jésus, c'est exprimé, montré, répété, re-montré et si j'en crois le nombre conséquent de vidéos sur le sujet, on n’est certainement pas les premiers à le dire... Mais dans ce nouvel épisode du Ciné-club de M. Bobine, on va se demander ce que cette allégorie apporte au film. Est-ce qu'elle rajoute un éventuel sous-texte ou bien une dimension esthétique ou même une charge émotionnelle supplémentaire ? On peut aussi se permettre un peu de hors-piste sur terrain des suppositions et de la spéculation et se demander quelle était l'intention de Snyder lorsqu'il a décidé de faire de son Superman une figure christique ? Alors priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort parce qu'aujourd'hui, on va parler de Superman chez Zack Snyder ! Le Superman de Zack Snyder : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer Man of Steel Réalisé par Zack Snyder Avec Henry Cavill, Amy Adams, Michael Shannon, Russell Crowe, Kevin Costner Batman v Superman : L'Aube de la justice Réalisé par Zack Snyder Avec : Ben Affleck, Henry Cavill, Jesse Eisenberg, Amy Adams, Gal Gadot Zack Snyder's Justice League Réalisé par Zack Snyder Avec : Ben Affleck, Henry Cavill, Gal Gadot, Ezra Miller, Jason Momoa, Ray Fisher © 2022 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #superman #zacksnyder

Épisode 5 - Les générations Star Wars : Le live de M. Bobine

5 juillet 2022

La Saga Star Wars est-elle la même selon la génération à laquelle on appartient ? ★ Soutenez-nous sur uTip ► https://utip.io/mrbobine ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine En 1977, le premier volet de la saga Star Wars - Un nouvel espoir - a donné des envies de cinéma à un paquet de cinéphiles du monde entier parmi lesquels on trouve des grands noms comme Peter Jackson, Ridley Scott ou encore James Cameron, excusez du peu. 45 ans plus tard, alors que la franchise est toujours exploitée en long en large et en travers, sur tous les formats possibles et imaginables, la question de l’héritage de Star Wars peut sembler futile, d’autant plus qu’une certaine lassitude des fans de la première heure commence à s’installer. Mais il existe une autre frange de fans pour qui la saga de George Lucas n'est pas aussi ancienne, ceux qui ont découvert cet univers non pas avec Luke Skywalker, Han Solo, Yoda, Leia et compagnie, mais plutôt avec Anakin, Padme ou, pour les plus déviants d’entre vous : Jar Jar Binks. Et oui, quoi qu’on pense de la prélogie, (et dieu sait qu'on n'en pense pas du bien chez M. Bobine), on ne peut pas nier qu’elle a aussi marqué une génération tout en étant violemment rejetée par la génération précédente. Qu’est-ce qui parle tant à la jeune génération dans cette nouvelle trilogie pour que certains tentent de la réhabiliter à l’aune de la catastrophe industrielle que sont les épisodes 7, 8 et 9 ? Pourquoi il y a un tel clash générationnel entre les fans de la trilogie originale et ceux de la prélogie ? Pour y répondre, j'ai la chance d'avoir un plateau de vidéastes plus ou moins jeunes : Victor aka Le CinématoGrapheur, Loïc de la chaîne Versus et Albin de la chaîne Kino ! Retrouvez les chaînes des intervenants : - Le CinématoGrapheur : https://www.youtube.com/c/LeCinématographeur - Versus : https://www.youtube.com/c/VERSUS_CINEMA - Kino : https://www.youtube.com/channel/UCo2ikWoB4T4nIaF4UpGr1XQ © 2022 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #starwars #prélogie

Épisode 7 - Everything Everywhere All at Once des Daniels, l'analyse de M. Bobine

2 septembre 2022

Everything Everywhere All at Once est-il un film aussi chaotique et absurde que le multivers qu'il dépeint ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine On ne peut pas retirer au Daniels d'avoir frapper un grand coup avec Everything Everywhere All at Once. Nanti d'un budget riquiqui (25 millions de dollars) le duo de réalisateurs derrière Swiss Army Man officient principalement dans le monde du cinéma indépendant, et plus précisément chez le studio A24. Même si A24 commence à se faire un nom aux États-Unis et à l'international, même s'ils proposent un cinéma original piloté par des cinéastes auteurs, leurs films sont malgré tout cantonnés à un public de niche, au point même qu'on commence à associé le nom du studio à certains clichés du cinéma indépendant, notamment dans le domaine de l'horreur. Mais avec Everything Everywhere All at Once, Dan Kwan et Daniel Sheinert ont largement dépassé ce public de niche pour atteindre le grand public. Sans égaler les chiffres délirants des films du studio Marvel et de son cinematic Universe, le nouveau film des Daniels est quand même un gros succès, Everything Everywhere All at Once est ce qu'on appelle un "sleeper", c'est à dire un succès que personne dans l'industrie n'avait vu venir, ce qui était aussi le cas d'un film réalisé par un duo de cinéastes qui avait redéfini la manière de faire de l'action au cinéma : Matrix des sœurs Wachowski, auquel les Daniels empruntent beaucoup pour leur film. D'un autre côté, Everything Everywhere All at Once s'inscrit également dans la mode du multivers exploité en long en large et en travers par le studio Marvel, notamment dans des films comme Spider-Man : No Way Home ou Doctor Strange in the Multiverse of Madness. Dès lors, on peut se demander si Everything Everywhere All at Once est un gros gloubi-boulga surfant sur les modes du moment (le revival des 90's avec Matrix et le multivers) ou si les Daniels ont une idée bien plus précise et bien plus avant-gardiste de ce qu'ils peuvent exprimer au travers de la figure du multivers. Comme vous vous en doutez, notre cœur balance plutôt vers la seconde option, ce qui nous amène à nous poser cette question : et si les Daniels étaient finalement les digne héritiers des sœurs Wachowski en reprenant la note d'intention de la trilogie Matrix ? Everything Everywhere All at Once : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer, Julien Pavageau Everything Everywhere All at Once : Réalisé par Dan Kwan et Daniel Scheinert (aka les Daniels) Avec Michelle Yeoh, Stephanie Hsu, Ke Huy Quan, Jamie Lee Curtis, James Hong Genre : science-fiction, comédie, drame © 2022 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #everythingeverywhereallatonce #daniels

Épisode 8 - Retour sur les films de l'été 2022 avec @LeCinematographeur et @VERSUS_CINEMA

4 octobre 2022

Everything Everywhere All at Once, Nope et 3000 ans à t'attendre, trois histoires sur les histoires. ★ Soutenez-nous sur uTip ► https://utip.io/mrbobine ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Retrouvez les chaînes des intervenants : - Le CinématoGrapheur : https://www.youtube.com/c/LeCinématographeur - Versus : https://www.youtube.com/c/VERSUS_CINEMA Le dernier bilan de la fréquentation des salles de cinéma publié par le CNC n'est pas réjouissant. Après des mois de juillet et d'aout en baisse par rapport à l'année 2021, la fréquentation du mois de septembre chute carrément à son niveau le plus bas depuis 1980... En plus de la concurrences des plateformes, Disney fait pression sur l'industrie du cinéma français pour raccourcir la chronologie des médias en faisant du chantage avec sa prochaine sortie estampillée Marvel : Black Panther: Wakanda Forever. Bref, c'est pas la joie. Et pourtant, l'été qui vient de s'achever nous a donné quelques films singuliers, des œuvres qui tranchent avec les blockbusters pondus à la chaîne dans les usines Disney / Marvel. Nous allons nous pencher sur trois d'entre eux : Nope de Jordan Peele, Trois Mille ans à t'attendre de George Miller et Everything Everywhere All at Once des Daniels (dont nous avons déjà pas mal parlé sur notre chaîne). Trois films qui ne partagent certes pas le même destin au box office, mais trois proposition de cinéma atypique qui ont en commun d'être des histoires qui nous parlent des histoires, qu'elles soient antiques comme dans Trois Mille ans à t'attendre, contemporaines avec Everything Everywhere All at Once ou qu'elles fassent le lien entre passé et présent comme dans Nope. Autour des micros, vous retrouverez bien sûr Julien, Lucas et Cyril de l'équipe du Ciné-club de M. Bobine, mais aussi nos confrères Victor, aka le Cinématographeur et Loïc de la chaînes Versus ! 00:00 - intro 02:02 - Vesper Chronicles de Bruno Samper, Kristina Buozyte 08:30 - Decision to Leave de Park Chan-wook 10:30 - As Bestas de Rodrigo Sorogoyen 14:18 - La nuit du 12 de Dominik Moll 15:40 - House of the Dragon sur HBO 19:41 - Top Gun : Maverick de Joseph Kosinski 25:20 - Ambulance de Michael Bay 30:20 - Beast de Baltasar Kormákur 33:10 - Coupez ! de Michel Hazanavicius 34:05 - Nope de Jordan Peele 1:13:38 - Everything Everywhere All at Once 1:52:14 - Trois mille ans à t'attendre de George Miller 2:29:15 - Avatar de James Cameron 2:52:45 - Les Anneaux de pouvoir sur Amazon Prime 3:00:29 - Conclusion © 2022 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #everythingeverywhereallatonce #nope

Épisode 9 - Canal Plus et le cinéma : entre succès pharaoniques et échecs cinglants, par M. Bobine

14 octobre 2022

M. Bobine vous raconte l'épopée de la chaîne qui a tenté de bousculer le PAF et le cinéma français ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine De nos jours, le nom de Canal+ ne fait plus particulièrement rêver. Pourtant, pour une large partie de la génération Y (dont nous faisons évidemment partie), cette chaîne a joué un rôle crucial dans le développement de notre cinéphilie, et plus largement, de notre rapport à la culture. Et oui, durant les années 90, Canal+ était LA chaîne du cinéma. Pour les heureux possesseurs d'un décodeur, la chaîne cryptée proposait la diffusion de films inédits sur toutes les autres chaînes du paysage audiovisuel français dans leur format d'origine et en version originale (comme, au hasard, Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir de George Lucas qui a quand même attendu 8 ans pour arriver sur nos écrans de télévision...). Il y avait aussi les émissions de télévisions qui faisaient la part belle au cinéma,que ce soit Nulle part ailleurs qui multipliait les invités prestigieux, les Guignols de l'info qui s'inspiraient très souvent du grand écran pour le segment central en forme de mini-court-métrage, ou tout simplement les émissions Le journal du Cinéma d'Isabelle Giordano, ou Cinéma de quartier de Jean-Pierre Dionnet. Mais les ambitions du groupe Canal+ ne se limitaient pas au petit écran. Sous la houlette de Pierre Lescure et d'Alain De Greef, la chaîne va soutenir des réalisateurs et des projets atypiques (souvent retoqué par le CNC) comme La Haine de Matthieu Kassovitz, Bernie d'Albert Dupontel, La cité de la peur des Nuls, Dobermann de Jan Kounen ou Seul contre tous de Gaspar Noé. Cette volonté de bousculer le monde de la production hexagonale trouvera son apogée avec Le Pacte des Loups de Christophe Gans et Astérix & Obélix : mission Cléopâtre d'Alain Chabat, deux prototypes de blockbusters à la française qui feront un énorme carton au box office, deux films qui auraient dû augurer un avenir radieux pour la chaîne mais qui, au contraire, marquaient la fin de la récréation. Car après une telle ascension, l'important n'est pas la chute, mais l'atterrissage. Canal Plus et le cinéma : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Cyril Rolland et Yoan Orszulik Les vidéos YouTube citées dans l'épisode : - À qui appartient vraiment la télé par @LudovicBvideos : https://www.youtube.com/watch?v=D6ko_ceJBLQ - Les comédies françaises par @YohannFromOuterSpace : https://www.youtube.com/watch?v=gi4QeFCAHBk - Pierre Lescure, souvenir de Cannes par Télérama : https://www.youtube.com/watch?v=y6AmB7ju1S4 - Florent Emilio Siri : Premiers pas par @screenmania9895 : https://www.youtube.com/watch?v=dK832x6Pkd8 - Interview robin williams sur les films de dupontel par @bonimenteurfrancais9358 : https://www.youtube.com/watch?v=r-6Vy5OYu58 - La leçon de cinéma d'Alain Chabat par Arte Cinéma : https://www.youtube.com/watch?v=VfLAXJPz_q4 - T'AS LA REF ? - Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre par @lamanieducinema_ : https://www.youtube.com/watch?v=XQMZx4osweI - J.F.K, l'analyse de M. Bobine : https://www.youtube.com/watch?v=Soz7XQ1nm6k - Matrix - les résonances, l'analyse de M. Bobine : https://www.youtube.com/watch?v=JhfZSLYOxL0 - Meiko Kaji : la vengeuse, l'analyse de M. Bobine : https://www.youtube.com/watch?v=TilqfUAeXHo Chapitres : 00:00:00 - Introduction 00:00:56 - Naissance de Canal Plus 00:02:37 - La part belle au cinéma 00:06:35 - L'esprit Canal 00:09:52 - L'aventure hollywoodienne 00:12:04 - La déconfiture Carolco 00:18:14 - En direct de la plage du Martinez 00:19:22 - Les stars maisons se mettent au cinéma 00:24:16 - "La Haine", "Bernie" et "Seul contre tous" : un cinéma social atypique 00:29:06 - Steampunk et nouvelles images 00:34:49 - Luc Besson et les liaisons dangereuses 00:38:29 - Starfix et les French Frayeurs 00:43:17 - La montée en puissance 00:46:03 - Le Pacte des loups de Christophe Gans 00:52:33 - Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre d'Alain Chabat 00:58:30 - La fin de la récréation 01:03:08 - L'après Canal+ 01:07:04 - Un nouvel espoir ? 01:11:13 - Conclusion © 2022 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #canalplus

Épisode 11 - I'm Not There, Bob Dylan, Todd Haynes et les biopics musicaux - l'analyse de M. Bobine

25 novembre 2022

I'm Not There, le biopic qui ne racontait pas l'histoire de Bob Dylan. ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Il y a quinze ans, presque jour pour jour, alors que la vague des biopics musicaux battait son plein avec des films aussi calibrés que Ray ou Walk The Line, sortait un petit film bizarre. Officiellement un biopic consacré à Bob Dylan, I'm Not There racontait plutôt les histoires de six personnages. Il dépégnait l'errance de Woody, un jeune gamin noir qui parcourt l'Amérique de la fin des années 50 comme s'il était un vagabond des années 30. Il mettait en scène Jack Rollins, une ancienne icône du folk contestataire reconverti bien des années plus tard en pasteur évangélique. Il suivait la tournée anglaise de Jude Quinn, un musicien qui vient de se mettre son public à dos en changeant radicalement de style. Il racontait la relation entre l'acteur Robbie Clark et sa femme Claire, depuis leur rencontre dans les années 60 alors que Robbie tourne dans un biopic consacré à Jack Rollins jusqu'à leur divorce dans les années 70. Il montrait comment un cowboy vieillissant qui pourrait bien être le légendaire Billy The Kid s'est réfugié dans une petite bourgade reculée avant d'être rattrapé par son passé. Enfin, il retranscrivait l'interrogatoire d'un mystérieux individu qui prétend être Arthur Rimbaud. Bref, pas de Bob Dylan en vue ! Alors, aujourd'hui, alors que les biopics musicaux sont toujours aussi populaires grâce à des films comme Rocketman, Straight Outta Compton, Respect, Stardust, All Eyez on Me, Bohemian Rhapsody ou encore les deux biopics sur Elvis mis en scène par Baz Luhrmann et bientôt par Sofia Coppola, le Ciné-club de Monsieur Bobine vous explique le pourquoi du comment de ce film inclassable, des choix de Todd Haynes concernant son film aux multiples interprétations du film en passant évidemment par les liens avec la vie et l'oeuvre de Bob Dylan. I'm Not There de Todd Haynes : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Aurélien Noyer Les vidéos citées dans notre analyse : - The Broken Formula of Music Biopics par @patrickhwillems : https://www.youtube.com/watch?v=K3q3LEaK7_U - Tangled Up in Blue: Deciphering a Bob Dylan Masterpiece par @Polyphonic : https://www.youtube.com/watch?v=y4VwQXoyodk I'm Not There : Réalisé par Todd Haynes Avec Christian Bale, Cate Blanchett, Ben Whishaw, Marcus Carl Franklin, Charlotte Gainsbourg, Richard Gere, Heath Ledger, Julianne Moore, Peter Friedman Genre : biopic musical pas comme les autres © 2022 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #biopics #bobdylan

Épisode 12 - Aquaman et le phénomène des "mashup movies", l'analyse de M. Bobine

23 décembre 2022

Aquaman est-il le précurseur d'une nouvelle façon de faire les films à Hollywood ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine En 2018, comme un bon paquet de spectateurs j’ai pris un billet pour aller voir le nouveau volet du DCEU : Aquaman réalisé par James Wan et pour tout vous dire, je n’en garde pas un mauvais souvenir. Sous ses airs de blockbuster décomplexé qui frôle le nanard à plusieurs reprises, Aquaman est un film généreux avec des scènes d'action pas trop mal fichue, ce qui est loin d'être acquis dans le paysage Hollywoodien actuel. Un film qui tranche également avec la tonalité sombre et ampoulée des précédents films de l'univers DC réalisés par Zack Snyder : Man of Steel, Batman v Superman et Justice League. Et d'ailleurs, contrairement aux Batman v Superman et au Justice League de Zack Snyder, le Aquaman de James Wan, lui a cartonné au box office, dépassant le milliard de recette au box office mondial. Un tel succès a forcément des conséquences sur l'industrie du blockbuster, Warner changera d'ailleurs son fusil d'épaule, abandonnant le cinematic universe de Snyder pour privilégier des films solos avec leur voix et leur univers propre. Mais il y a peut-être eu une autre conséquence, car Aquaman est un film qui semble avoir été conçu de manière singulière, notamment dans son aspect référentiel particulièrement chaotique. En effet, la liste des films que cite plus ou moins officiellement James Wan dans son Aquaman est impressionnante. Dans cette liste, on y trouve dans le désordre : Abyss et Avatar de James Cameron, Ponyo sur la falaise de Hayao Miyazaki, Tron l'héritage de Joseph Kosinski, Le Monde de Nemo d'Andrew Stanton et Lee Unkrich, La Petite Sirène de John Musker et Ron Clements, Godzilla de Gareth Edwards, Les Aventures de Tintin : Le Secret de La Licorne de Steven Spielberg et même le Cinquième élément de Luc Besson... En l'état, Aquaman ressemble plus à un gigantesque mash-up, c'est à dire un collage de sons et de vidéos piochées directement dans d'autres oeuvres, qu'à un film référentiel. Est-ce que le succès d'Aquaman a donné des idées aux autres studios Hollywoodiens ? Impossible de le savoir. Et pourtant, rapidemment, d'autres "films mashup" ont déboulés sur nos écrans : Godzilla Vs Kong d'Adam Wingard, Jungle Cruise de Jaume Collet-Serra, Army of the dead de Zack Snyder (encore lui), Free Guy de Shawn Levy, Red Notice de Rawson Marshall Thurber, l'infâme Space Jam : Nouvelle Ère de Malcolm D. Lee ou Tic et Tac, les Rangers du risque : le film d'Akiva Schaffer... Des films à la conception tellement improbable qu'on en finirait presque par se demander s'ils sont conçus par des humains. Et si malgré lui, Aquaman était le précurseur d'une nouvelle façon de faire des films à Hollywood ? Aquaman, James Wan et le Mashup : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Julien Pavageau Aquaman : Réalisé par James Wan Avec Jason Momoa, Amber Heard, Willem Dafoe, Patrick Wilson, Nicole Kidman, Dolph Lundgren, Yahya Abdul-Mateen II, Temuera Morrison Genre : film de super-héros Adapté des comics Aquaman créés par Paul Norris et Mort Weisinger pour DC Comics © 2022 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #aquaman #mashup

Épisode 13 - Le live de M. Bobine - Le bilan cinéma de l'année 2022

13 janvier 2023

L'équipe de M. Bobine s'est enfin remise de son réveillon, il est temps de faire le bilan de l'année 2022 au cinéma ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Ce live a initialement été diffusé sur notre chaîne Twitch à laquelle nous vous invitons à vous abonner : https://www.twitch.tv/monsieurbobine Tout le monde dans le YouTube cinéma a déjà fait son top ou son flop des films sortis durant l'année 2022, il n'y avait pas de raison que nous ne fassions pas nous aussi le notre ! Bon... Si vous nous connaissez, vous savez que nous n'aimons pas spécialement faire des classements, aussi nous avons fait le choix de parler des films dans l'ordre de leur sortie sans classement particulier. Nous avons quand même divisé notre live en trois parties (pas du tout égales) : Les films que nous avons beaucoup aimés, parmis lesquels on trouve Nightmare Alley et Pinocchio de Guillermo Del Toro, Alerte rouge de Domee Shi, Ambulance de Michael Bay, RRR de S. S. Rajamouli, The Northman de Robert Eggers, Shin Ultraman de Shinji Higuchi, Decision to Leave de Park Chan-wook, Beast de Baltasar Kormákur et Top Gun: Maverick de Joseph Kosinski. Les films sur lesquels nous ne sommes pas tous d'accord ou sur lesquels nous avons un avis mitigé comme Glass Onion de Ryan Johnson, The Batman de Matt Reeves et As bestas de Rodrigo Sorogoyen. Et enfin, la galerie des horreurs, les monstres de 2022 : Moonfall de Roland Emmerich, Bigbug de Jean-Pierre Jeunet, Uncharted de Ruben Fleischer, Morbius de Daniel Espinosa et Arthur, malédiction de Barthélemy Grossmann. Nous vous souhaitons une bonne année à tous et à très bientôt pour de nouvelles analyses cinéma du Ciné-club de M. Bobine ! Le bilan cinéma de l'année 2022 : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation : Julien Pavageau, intervenants : Julien Pavageau, Yoan Orszulik et Aurélien Gouriou-Valès © 2023 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! 00:00:00 - Introduction 00:02:33 - Nightmare Alley de Guillermo Del Toro 00:19:26 - Alerte rouge de Domee Shi 00:35:09 - Ambulance de Michael Bay 00:53:17 - RRR de S. S. Rajamouli 01:18:34 - Glass Onion de Rian Johnson 01:27:22 - The Northman de Robert Eggers 01:46:38 - Shin Ultraman de Shinji Higuchi 02:01:05 - Decision to Leave de Park Chan-wook 02:11:51 - Beast de Baltasar Kormákur 02:27:34 - Pinocchio de Guillermo Del Toro 02:49:41 - Top Gun: Maverick de Joseph Kosinski 03:00:28 - The Batman de Matt Reeves 03:18:06 - As bestas de Rodrigo Sorogoyen 03:29:34 - Moonfall de Roland Emmerich 03:41:58 - Morbius de Daniel Espinosa 03:44:06 - Uncharted de Ruben Fleischer 03:53:22 - Arthur, malédiction de Barthélemy Grossmann 04:05:34 - Bigbug de Jean-Pierre Jeunet #cinéma

Épisode 14 - Le scénario d'Avatar 2 : la voie de l'eau, l'analyse de M. Bobine

27 janvier 2023

Le scénario d'Avatar 2 : la voie de l'eau est-il aussi vide que certains le prétendent ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Après 13 ans d’attente, la saga Avatar de James Cameron est de retour dans nos salles de cinéma et comme son prédécesseur, Avatar : La voie de l’eau cartonne au box office mondial à une échelle que personne n’avait vraiment prévu, pas même James Cameron lui-même. Du côté de la réception critique, cette suite tardive est également très bien accueillie malgré quelques voix discordantes, comme c’est quasiment toujours le cas pour chacun des films de James Cameron. Et pourtant, si tout le monde concède qu’il est le maître incontesté pour créer des spectacles titanesques au cinéma, un grand metteur en scène et un pionnier dans la fabrication de nouvelles images, on ne lui reconnaît pas pour autant ce qui à mon sens est son principal talent : celui de narrateur. Dans la presse, on peut lire que le scénario d'Avatar 2 est gnangnan, maladroit, trop classique, simpliste ou carrément d’une bêtise sans nom... Et ça aussi c’est une constante chez Cameron à qui l’on reproche quasi systématiquement la simplicité ou le manque d’originalité de ses histoires. Et force est de constater qu’il travaille très souvent autours de personnages archétypaux ou de codes archi connus du cinéma ce qui peut donner une petite impression de déjà-vu. Mais est-ce que James Cameron est un mauvais scénariste pour autant ? Aujourd’hui, je ne vais pas décortiquer en détail cet énorme film qu’est Avatar 2, en revanche, dans cette petite vidéo, je vais essayer de répondre à une question relativement simple : Avatar : la voie de l’eau a-t-il un bon scénario ? Le scénario d'Avatar : la voie de l'eau : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Julien Pavageau Avatar 2 : la voie de l'eau : Réalisé par James Cameron Avec Sam Worthington, Zoe Saldaña, Sigourney Weaver, Stephen Lang, Britain Dalton, Jamie Flatters, Jack Champion, Cliff Curtis Genre : Fantasy, science-fiction Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! © 2023 - Le Ciné-Club de M. Bobine #cinéma #avatar2 #jamescameron

Épisode 15 - Les lives de M. Bobine - Avatar 2 de James Cameron : le débriefing.

18 février 2023

Je débriefe notre dernière vidéo sur le scénario d'Avatar 2 ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Suite aux plus de 600 commentaires qu'a suscitée ma vidéo consacrée aux talents de scénaristes de James Cameron, et en particulier sur son dernier film en date, Avatar 2 : la voie de l'eau, Je me suis dit que ça pourrait être intéressant de faire un petit débriefing de cette vidéo à l'occasion d'un stream sur notre chaîne Twitch (Abonnez-vous ! https://www.twitch.tv/monsieurbobine). Comme c'est la première fois que je faisais un stream tout seul, je vous avoue que j'avais un peu peur de me retrouver à parler dans le vide et de ne plus rien avoir à dire au bout d'une demi-heure. Au final, j'ai déblatérer pendant trois heures et quarante minutes sur Avatar 2 et sur le cinéma de James Cameron en général... Et le pire dans tout ça, c'est que le lendemain matin, je me suis réveillé en me rendant compte qu'il y avait plein de choses dont j'avais oublié de parler pendant le live... Néanmoins, je suis plutôt content de la soirée, je remercie vraiment tout ceux qui ont participé à la soirée dans le chat, c'était vraiment super ! Au programme de ce live très long, très dense et, je l'espère, pas trop confus : je reviens sur la soirée que nous avons passé au cinéma le Vox qui nous a de nouveau accueilli pour animer une séance d'Avatar 2 (comme par hasard), je vous explique pourquoi j'ai voulu réaliser cette vidéo sur l'approche scénaristique de James Cameron, je reviens sur la ressortie de l'incroyable Titanic en 3D et ensuite, j'essaie de répondre aux objections des internautes qui se sont exprimés dans la section commentaire de notre dernière vidéo ! Les live de M. Bobine : Avatar 2 de James Cameron, le débriefing : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau © 2023 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #avatar2 #jamescameron

Épisode 16 - Les lives de M. Bobine - The Fabelmans de Steven Spielberg

8 mars 2023

Aujourd'hui, on cause de The Fabelmans, le (faux) biopic de Steven Spielberg ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine The Fabelmans est un film un peu à part dans l’œuvre de Steven Spielberg. Si le réalisateur s'est toujours plus ou moins livré à travers ses films, et plus particulièrement sa relation compliquée avec son père dans E.T., l'extra-terrestre (auquel nous avons d'ailleurs consacré un épisode de M. Bobine) ou Rencontre du Troisième Type (auquel nous avons pas encore consacré un épisode de M. Bobine), il n'avait jamais affronté aussi frontalement son traumatisme lié au divorce de ses parents. Et pourtant, The Fabelmans ne raconte pas ce que Spielberg à vécu durant cette période, au contraire, c'est un film qui prend énormément de liberté avec ce que l'on sait de la vie du réalisateur. D'ailleurs, le titre est assez clair sur la note d'intention du film : il s'agit d'une affabulation, un film en perpétuelle tension entre la vérité et le mensonge, bref, The Fabelmans nous parle avant tout de la manière dont on raconte des fables avec des images, des mensonges qui servent à faire émerger des vérités. The Fabelmans de Steven Spieberg : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine avec : Julien Pavageau, Cyril Rolland et Aurélien Noyer The Fabelmans : Réalisé par Steven Spielberg Avec Michelle Williams, Paul Dano, Gabriel LaBelle Genre : faux biopic © 2023 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #spielberg #thefabelmans

Épisode 17 - Les chroniques adolescentes de Nobuhiko Ōbayashi, l'analyse de M. Bobine

21 avril 2023

Comment Nobuhiko Ōbayashi a-t-il rebondi après son House complétement déjanté ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Souvenez-vous, en 2018, nous vous avions parlé de House, un blockbuster expérimental complètement frappadingue sorti en 1977 qui a fait un carton monumental au Japon. Et pourtant, la filmographie de son réalisateur, Nobuhiko Ôbayashi, reste assez méconnue à l'international et House est un peu l’arbre qui cache la forêt, alors qu’on y trouve d’autres petits bijoux qui méritent d'être découverts ou redécouverts. Aujourd’hui, on va se pencher sur quatre films en particulier : School in the Crosshairs, La Nouvelle de la classe, The Little Girl Who Conquered Time et Lonely Heart, quatre « teen movie » fantastiques sortis entre 1981 et 1985, mais aussi quatre œuvres dans lesquelles Obayashi a fait évoluer son style très personnel, tout en restant fidèle à lui-même ! Les chroniques adolescentes de Nobuhiko Ōbayashi : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Yoan Orszulik, Aurélien Gendraud School in the Crosshairs : Réalisé par Nobuhiko Ōbayashi Avec Hiroko Yakushimaru, Ryôichi Takayanagi, Masami Hasegawa Genre : Comédie, Fantasy, Science-fiction La nouvelle de la classe : Réalisé par Nobuhiko Ōbayashi Avec Satomi Kobayashi, Toshinori Omi Genre : Comédie fantastique The Little Girl Who Conquered Time : Réalisé par Nobuhiko Ōbayashi Avec Tomoyo Harada, Ryōichi Takayanagi, Toshinori Omi, Yukari Tsuda, Ittoku Kishibe Genre : drame, science-fiction Lonely Heart : Réalisé par Nobuhiko Ōbayashi Avec Yasuko Tomita, Toshinori Omi Genre : Comédie fantastique © 2023 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #obayashi #nobuhikoObayashi

Épisode 18 - True Lies de James Cameron, l'analyse de M. Bobine

9 juin 2023

Et si True Lies était un film complétement à part dans la filmographie de James Cameron ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Comme pas mal de cinéphiles, j'ai toujours eu tendance à penser que True Lies était un film mineur dans la filmographie de James Cameron. Entendons-nous bien, True Lies est un très bon film avec des séquences d'action incroyables tout en étant une excellente comédie. Mais par rapport à des œuvres archi-personnelles comme Abyss, Titanic ou Avatar et des véritables game changers comme Terminator 1, Aliens et Terminator 2, True Lies ressemble plus à une sorte de récréation dans la carrière de James Cameron. Un film spectaculaire, généreux à l’excès mais un peu déséquilibré, parfois maladroit, parfois un peu vulgos... Bref, c’est un film qui ne témoigne à priori pas du même investissement du réalisateur que dans ses autres œuvres. Et pourtant, c'est peut-être parce qu'il a abordé True Lies avec moins de pression que ses autres films que James Cameron s’est autorisé des choses qu’il ne s’était jamais permises avant et qu’il n’a plus jamais refaites depuis. Car True Lies est en quelque sorte, un anti-film de James Cameron ! True Lies de James Cameron : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Julien Pavageau True Lies : Réalisé par James Cameron Avec Arnold Schwarzenegger, Jamie Lee Curtis, Tom Arnold, Bill Paxton, Tia Carrere, Art Malik, Eliza Dushku Genre : Comédie, film d'action Adapté de La Totale ! de Claude Zidi © 2023 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinema #truelies #jamescameron

Épisode 19 - Terminator 2, Matrix et les dystopies des années 90 - les lives de M. Bobine

7 juillet 2023

Et si avec Terminator 2 et Matrix, Cameron et les Wachowski racontaient à peu près la même chose ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine En mai dernier, le Bordeaux Geekfest nous a invité à donner une conférence pour son édition 2023 dont le thème était "utopies & dystopies". Forcément, comme nous avons énormément parlé du cinéma de James Cameron et de Lana et Lilly Wachowski sur le Ciné-club de M. Bobine, on a immédiatement pensé à deux films à priori très différents : Terminator 2 et Matrix. En effet, Terminator 2 était était le film le plus cher de l'histoire du cinéma (à l'époque de sa sortie) ainsi que le film le plus attendu de l'année tandis que Matrix est plutôt tourné à l'économie et fut un véritable succès surprise (comme nous l'avions vu dans notre épisode sur l'année 1999 au cinéma). Et pourtant, d'un bout à l'autre des années 90, ces deux films aux origines bien différentes semblent pourtant dialoguer ensemble. Tous deux s'appuient sur la peur de la technologie et en particulier sur la domination potentielle des machines sur l'humanité. Tous deux utilisent ce thème pour poser en filigrane la question de la distinction entre l'humanité et les machines. Enfin, tous les deux abordent la question de la prédestination et du libre arbitre comme une échappatoire potentielle. Tout ça pour dire que ce qui nous intéressait, c'était de comparer Terminator 2 et Matrix parce qu'ils sont sortis respectivement au début et à la fin des années 90. Et on voulait voir comment ils synthétisent à leur façon les questions et les angoisses qui ont agités cette période. Et comme la conférence que nous avons donné au Bordeaux Geekfest était intégralement pas filmée, nous avons décidé de vous la refaire sur notre chaîne twitch (puis en rediffusion sur YouTube) avec quelques petites réflexions en bonus en seconde partie ! Terminator 2, Matrix et les dystopies des années 90 : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Écriture, recherche : Julien Pavageau et Aurélien Noyer Terminator 2 : Réalisé par James Cameron Avec : Arnold Schwarzenegger, Edward Furlong, Linda Hamilton, Robert Patrick Genre : science-fiction Matrix : Réalisé par Lilly et Lana Wachowski Avec : Keanu Reeves, Carrie-Anne Moss, Laurence Fishburne, Hugo Weaving Genre : science-fiction 00:00 introduction 04:00 Terminator 2 et Matrix 15:44 Partie 1 : Rage against the Machine 29:35 Partie 2 : Bienvenue dans le désert du réel 39:27 Partie 3 : Le problème c'est le choix 52:08 Conclusion 56:37 Bonus © 2023 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #terminator2 #thematrix

Épisode 20 - Chicago, une ville de cinéma pas comme les autres, par M. Bobine

8 septembre 2023

Pourquoi Chicago est une ville à part au cinéma ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Quel est le point commun entre Michael Mann, Lilly et Lana Wachowski, David Mamet, Harold Ramis, John Hughes, Dan Aykroyd, John Belushi, Mike Myers ou encore Andrew Davis ? Et bien toutes ces personnalités du cinéma sont nées ou ont vécu à Chicago, et ont écrit, réalisé, et ont oeuvré sur des films qui exploitent plus ou moins habilement l'histoire et la géographie de Chicago ! Des films comme Jupiter Ascending des Wachowski, Le Solitaire ou Public Ennemies de Michael Mann, Les Blues Brothers de John Landis ou encore La Folle Journée de Ferris Bueller de John Hughes. Quand on y pense, il n'y a à priori rien d'exceptionnel puisqu’avec ses 2,7 millions d’habitants, Chicago est troisième ville des États-Unis en termes de population. C'est donc logique de la voir figurer juste derrière les incontournables New York et Los Angeles en termes de présence sur le grand écran. De plus on trouve pléthore de cinéastes qui font de leur ville de naissance ou de cœur le décor privilégié de leurs films. Par exemple, on connaît tous l’amour que portent à New York des cinéastes comme Martin Scorsese, Spike Lee ou Woody Allen. Philadelphie a M. Night Shyamalan et Baltimore Barry Levinson. Mais aucune de ces villes ne bénéficient, comme Chicago, de l’incroyable fidélité dont ont fait preuve tous les grands noms de l’industrie hollywoodienne qui y sont nés ou démarré leur carrière. Dans ce nouvel épisode du Ciné-club de M. Bobine, nous allons explorer la relation faite de hauts et de bas que Chicago entretient depuis plus d’un siècle avec l’industrie du cinéma et surtout la place toute particulière qu’elle occupe dans le cœur de certains cinéastes et comédiens. Des artistes qui n’auront eu de cesse, tout au long de leur carrière, de lui crier leur amour ! La ville de Chicago au cinéma : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherches : Cyril Rolland La ville de Chicago au cinéma - l'analyse de M. Bobine © 2023 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #chicago #windycity 00:00:00 - introduction 00:01:56 - Le cinéma des origines 00:05:18 - Chicago recréé en studio 00:07:51 - Les années Richard Daley 00:12:39 - Les Blues Brothers en mission pour le seigneur 00:15:15 - "C'est ça, la loi, à Chicago" 00:17:12 - Chicago incognito 00:18:26 - Les landmarks de Chicago 00:20:10 - Ancrage local 00:26:33 - North Side Story 00:30:32 - South Side Story 00:35:37 - Sweet Home Chicago 00:37:21 - Second City 00:40:33 - Chicago directors 00:49:35 - John Hughes 00:53:42 - Chicago aujourd'hui

Épisode 21 - LIVE - NOS PLUS GRANDES PEURS AU CINÉMA - Partie 1 : les terreurs enfantines

26 octobre 2023

C'est bientôt Halloween, on va donc s'intéresser à la pétoche au cinéma ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Quels étaient les monstres qui squattaient sous vos lits ? Quels œuvres vous ont traumatisés ? Existe-t-il un cinéma d’horreur pour les enfants ? Qu’est-ce qui fait peur aux jeunes d’aujourd’hui et sur quel médium ? Ce sont quelques unes des questions que nous allons poser dans cette première soirée de ce diptyque consacré à la peur au cinéma ! Pour nous accompagner dans l’explorations des sombres abîmes de nos terreurs enfantines, nous avons invoqués de prestigieux cénobites : - Mylène Da Sylva, co-fondatrice de la S’Horrorité, une association féministe regroupant des créatrices de contenu sur le cinéma de genre et qui anime la chaîne Youtube @WelcomeToPrimetimeBITCH sur laquelle elle décortique le cinéma de genre. - Matthieu Broussolle, ex gérant d'un des derniers vidéoclub de France qui anime la chaîne @Lecoindubis dont le but est de faire découvrir ou redécouvrir un cinéma déviant, extrême et un peu oublié, mais qui mérite d’être remis en lumière : le cinéma bis. Vous pouvez également le retrouver en tant qu'intervenant dans le podcast Jumpscare. - Marie Casabonne, co-autrice d’un ouvrage sur les slashers et présidente de l'association Panic! Cinéma, qui organise des projections à Paris. Elle est également chroniqueuse sur l’émission Sale Temps pour un film et animatrice de l’émission Monster Squad chez @Capture-Mag - Benjamin Patinaud, aka @bolchegeek, aborde la culture populaire sous des angles artistiques, sociaux et politiques. Il réalise l’émission POPulaire pour @humanitefr et est également l'auteur du livre Le Syndrome Magneto. © 2023 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #halloween2023

Épisode 23 - Lisztomania de Ken Russell, l'analyse de M. Bobine

17 novembre 2023

Lisztomania : un biopic sur un grand compositeur classique avec Dracula, Frankenstein et des vaisseaux spatiaux. ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine De la filmographie de Ken Russell, on ne retient bien souvent que Les Diables, son adaptation bien barrée d’un récit d’Aldous Huxley sur l’affaire des diables du Loudun. Néanmoins, pas mal d'autres films signés Ken Russell méritent le détour. On peut citer par exemple les relativement connus Tommy, l'adaptation filmique de l’album-concept des Who, Au-delà du réel, Les Jours et les nuits de China Blue ou encore Le Repaire du Ver Blanc. Mais le film dont on va parler aujourd’hui s’inscrit dans un genre que Ken Russell affectionnait tout particulièrement : le biopic et en particulier le biopic racontant la vie d'un compositeur classique. En effet, en plus de tout un tas de projets avortés, Ken Russell a réussi à tourner plusieurs biopics dont trois sur des compositeurs classiques : The Music Lovers sur Pyotr Tchaikovksy en 1971, Mahler sur Gustav Mahler en 1974 et le film qui va nous intéresser aujourd'hui, Lisztomania sur la vie du pianiste et compositeur Franz Liszt en 1975. Et quand on parle de ce film en particulier il y a une question qui s’impose : mais c'est quoi ce film de fou furieux ?! Lisztomania de Ken Russell : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Yoan Orszulik et Aurélien Noyer Lisztomania : Réalisé par Ken Russell Avec Roger Daltrey, Fiona Lewis, Sara Kestelman, Ringo Starr, Rick Wakeman Genre : biopic musical fantaisiste Adapté de Nélida de Marie d'Agoult © 2023 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #Lisztomania #KenRussell

Épisode 24 - 2023 au cinéma (partie 1) - le bilan du Ciné-club de M. Bobine

15 janvier 2024

Donjons et Dragons, Spielberg, Scorsese ou Mars Express... On revient sur l'année 2023 au cinéma ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Retrouvez la seconde partie de ce Bilan de l'année 2023 au cinéma : https://youtube.com/live/zYg-LWPsPwE Ces derniers temps, les commentateurs du monde du cinéma ont tendance à prophétiser sa mort imminente. Et force est de constater qu'après la pandémie, la grève des scénaristes, les studios hollywoodiens en roue libre et toutes les crises successives qui secouent la planète et qui ont des répercussions sur le monde du cinéma, l'optimisme ne semble effectivement pas de rigueur. Si on se focalise uniquement sur le cinéma des gros studios hollywoodiens, 2023 n'est pas loin d'être catastrophique. De très grosses franchises comme la saga Indiana Jones où le DC Extended Universe se sont achevées dans une indifférence quasi-généralisée, notamment avec des flops comme celui d'Indiana Jones et le Cadran de la destinée, celui du catastrophique The Flash ou encore, celui du sympathique Aquaman et le Royaume perdu. D'autres saga s'essoufflent en s'enfermant dans des formules galvaudées comme le dernier Mission Impossible à la gloire de Tom Cruise ou Transformers: Rise of the Beasts qui est le volet le moins rentable de la franchise. Quant à Disney, le studio aux grandes oreilles a lancé la phase 5 de son monstrueux Marvel Cinematic Universe avec un gros pétard mouillé : Ant-Man et la Guêpe : Quantumania. Et pourtant, si l'on prend un peu de recul, le tableau nous semble subitement un peu moins sombre. Il ya des vieux de la vieille comme Steven Spielberg, David Fincher ou Martin Scorsese qui ont toujours la patate et qui nous le prouvent avec des films comme The Fabelmans, The Killer et Killers of the Flower Moon. En 2023 il y a aussi eu cet étrange objet hybride composé du film Barbie de Greta Gerwig et d'Oppenheimer de Christopher Nolan, un diptyque à qui l'on a très vite donné un surnom : "Barbenheimer". Puis il y a aussi eu d'excellentes surprises comme Misanthrope de Damián Szifrón ou Tár de Todd Field. Mais c'est surtout en sortant de notre vision américano-centrée du cinéma qu'on se rend compte que 2023 fut une année qui montre au contraire l'extraordinaire vitalité du cinéma actuel. Par exemple, le formidable Godzilla Minus One est devenu le plus gros succès mondial de l'histoire du Japon pour un film live et a même eu les honneurs d'une sortie en salle en France (même si elle était très limitée). Autre succès plus local, celui-là : Shin Kamen Rider de Hideaki Anno qui continue de redonner leurs lettres de noblesse aux icônes de la pop culture japonaises après Shin Godzilla et Shin Ultraman. Du côté de l'animation, on a eu le droit à des propositions très éclectiques avec le Garçon et le Héron de Miyazaki, Spider-Man: Across the Spider-Verse, Ninja Turtles: Teenage Years ou encore l'excellent Mars Express de Jérémie Périn, des films qui ont tout de suite plus de gueule que le fadasse Super Mario Bros du studio Illumination. Et puis, il y a le cinéma Indien qu'on a un peu tous découvert après le carton mondial de RRR en 2022 et qui continue de délivrer des blockbusters de maboules qui mettent à l'amende la production hollywoodienne actuelle. Ainsi, en 2023, Shah Rukh Khan nous a ébloui de son charisme avec Pathaan puis Jawan. Mais surtout, on s'est pris dans la poire Jigarthanda Double X de Karthik Subbaraj qui n'est pas loin d'être mon film préféré de l'année (juste derrière Godzilla Minus One). De manière globale, l'année 2023 s'inscrit dans la longue série d'annus horribilis qu'on se tape depuis un bon moment. Mais au moins, ce fut une année réjouissante sur nos grands et nos petits écrans. Bref, loin d’être mort et enterré, cet art populaire et protéiforme qu’est le cinéma nous rappelle au contraire qu'il est toujours bel et bien vivant ! 00:00 intro 06:02 Top 2 individuel 06:00 Tár 21:07 Pathaan 29:30 Donjons et Dragons 44:29 Shin Kamen Rider 57:07 Indiana Jones et le Cadran de la destinée 01:08:41 Killers of the Flower Moon 01:25:44 Misanthrope 01:35:25 Limbo 01:42:21 Anatomie d'une Chute 01:46:36 Vermines 01:49:13 Dernière nuit à Milan 01:53:42 Spider-Man - Across the Spider-Verse 01:58:21 Ninja Turtles 02:05:05 Les gardiens de la Galaxie 3 02:07:51 The Flash 02:25:51 Mission impossible : Dead Reckoning - partie 1 02:46:29 Mars Express 03:10:53 outro © 2024 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #2023

Épisode 25 - 2023 au cinéma (partie 2) - le bilan du Ciné-club de M. Bobine

24 janvier 2024

Godzilla, Jawan, Barbenheimer... C'est la 2ème partie de notre bilan 2023 au cinéma ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Retrouvez la première partie de ce Bilan de l'année 2023 au cinéma : https://youtube.com/live/iGPukTkS1yA On se doutait bien qu'on n'arriverait pas à plier le bilan de cette énorme année 2023 en une seule soirée, voici donc la seconde partie de notre bilan 2023 au cinéma ! Au programme, on va s'intéresser à l'étrange phénomène que fût la sortie simultanée de Barbie de Greta Gerwig et d'Oppenheimer de Christopher Nolan, un évènement conne désormais sous le nom de "Barbenheimer". Nous risquons également d'avoir un vif débat sur le cas Neill Blomkamp et son Gran Turismo qui divise les membres de l'équipe du Ciné-club de M. Bobine. Il va également être question du nouveau film de David Fincher : The Killer, sorti directement sur Netflix ou de la plutôt chouette série B intitulée Traquée de Brian Duffield. Et puis on va évidemment causer de cinéma indien avec Jawan de Atlee qui met en scène un Shahrukh Khan plus charismatique que jamais, Leo de Lokesh Kanagaraj et surtout le monumental Jigarthanda Double X de Karthik Subbaraj. On enchaîne ensuite avec le phénoménal Godzilla Minus One qui vient de ressortir en salle en France, puis en guise de dessert, on va évoquer le naufrage de Rebel Moon de Zack Snyder ainsi que notre fascination déviante pour le cinéma hyperbolique de James Wan avec son Aquaman et le Royaume perdu ! 00:00 intro 10:16 Barbie de Greta Gerwig 31:47 Oppenheimer de Christopher Nolan 53:44 Le garçon et le héron de Hayao Miyazaki 57:37 Gran Turismo de Neill Blomkamp 1:20:15 interlude improbable : Sonic 2 1:23:27 The Killer de David Fincher 1:43:12 Jawan de Atlee Kumar 2:06:35 Traquée de Brian Duffield 2:15:50 Vincent doit mourir de Stéphan Castang 2:17:51 Leo de Lokesh Kanagaraj 2:29:17 Jigarthanda DoubleX de Karthik Subbaraj 2:44:36 Godzilla Minus One de Takashi Yamazaki 3:16:49 Rebel Moon - Partie 1: Enfant du feu de Zack Snyder 3:32:49 Aquaman et le royaume perdu de James Wan © 2024 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #2023

Épisode 26 - Last Night in Soho d'Edgar Wright, l'analyse de M. Bobine

15 mars 2024

Last Night in Soho n'est-il qu'un film de formaliste ? Edgar Wright est-il juste un cinéaste fétichiste ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Sorti à l’automne 2021 le dernier film en date d’Edgar Wright, Last Night in soho est loin, très loin d'avoir rencontré son public. Avec un budget estimé à 43 millions de dollars, il n’en a rapporté que 23 à l’international, ce qui en fait un vrai échec au box office, en partie à cause d'un bouche à oreille plutôt négatif, y compris chez les fans du cinéaste de Baby Driver, Hot Fuzz ou Scott Pilgrim. Cependant, il y a une critique récurrente sur Last Night in Soho et sur le cinéma de Wright en général avec laquelle on n’est pas d’accord : Edgar Wright ne serait qu’un cinéaste formaliste, c’est à dire qu’il aime jouer avec la forme de ses films sans vraiment se soucier du fond. Et c’est vrai qu’à première vue ça semble être très largement le cas pour des films comme Baby Driver ou Last Night in Soho qui jouent avec les codes de genres très spécifiques avec un fétichisme parfaitement assumé. Et pourtant, il ne faut jamais se fier aux apparences, car si l’on regarde de l’autre côté du miroir, Last Night in Soho est un film bien plus cohérent et passionnant qu’il n’y paraît ! Last Night in Soho d'Edgar Wright : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Yoan Orszulik Last Night in Soho : Réalisé par Edgar Wright Avec Thomasin McKenzie, Anya Taylor-Joy, Matt Smith Genre : Horreur, neo-Giallo © 2024 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #lastnightinsoho #edgarwright

Épisode 28 - Comment Dark Vador est devenu Anakin Skywalker par M. Bobine

12 avril 2024

Comment écrit-on une saga comme Star Wars qui résiste à ce point à l'épreuve du temps ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Dans la prélogie Star Wars, George Lucas nous racontait comment Anakin Skywalker devenait Dark Vador. Dans l'épisode le plus long de notre chaîne, M. Bobine vous raconte comment Dark Vador est devenu Anakin Skywalker ! Et oui, contrairement à ce que raconte George Lucas, il a fallu poireauter un certain temps pour que le nom "Skywalker" commence à s’écrire au pluriel. Ce moment intervient à la toute fin de L’Empire contre-attaque avec l’une des plus célèbres de l’histoire du cinéma : "Je suis ton père". C’est peu de dire que cette révélation a traumatisé un certain nombre de spectateurs à l’époque. Il faut quand même reconnaître que cette idée a quelque chose d’authentiquement génial. Au-delà de son aspect choquant et inattendu, elle fonctionne du tonnerre à la fois au niveau intradiégétique mais aussi sur un plan plus symbolique. Bon, on pourrait probablement faire un épisode entier sur l’impact socioculturel de cette petite phrase. Mais en fait c’est pas vraiment notre sujet ! Si vous le voulez bien, on va plutôt se demander à quel moment précis cette idée a pris naissance. Star Wars a-t-il toujours été une histoire de Skywalker ? Ou bien s’agit-il d’un coup de génie tardif ? À qui le doit-on dans ce cas-là ? Et quelles conséquences exactes a-t-elle eu sur la suite de la saga ? Je préfère vous prévenir d’emblée, ça va pas être un petit épisode. Mais il fallait bien ça, je trouve, pour appréhender dans toute sa complexité cette figure fascinante faite à la fois d’ombre et de lumière, j'ai nommé George Lucas. Comment Dark Vador est devenu Anakin Skywalker : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Cyril Rolland © 2024 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #starwars #darkvador 00:00:00 - Intro 00:04:23 - Obi-Wan killed your father 00:09:16 - Un certain point de vue 00:11:23 - Dark Father 00:13:51 - To be continued ? 00:17:33 - Vador reloaded 00:20:03 - Le club des démiurges 00:24:46 - La méthode Rinzler 00:28:35 - Star Wars Begins 00:31:56 - Darth Vader Origins 00:35:54 - De Starkiller à Skywalker 00:39:55 - De la suite dans les idées 00:46:23 - The Empire Begins 00:57:42 - Le moment de vérité 01:01:41 - Écriture pragmatique ou écriture inconsciente ? 01:08:12 - Print the legend 01:09:30 - Episode V 01:11:40 - Dark Lucas

Épisode 30 - De Fury Road à Furiosa : Les 10 ans du Ciné-club de M. Bobine

19 juin 2024

Notre chaîne YouTube à 10 ans, c'est l'occasion de parler de... Furiosa ! ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Voilà ! La chaîne YouTube de M. Bobine vient d’avoir 10 ans ! Pour la petite histoire, avant 2014, M. Bobine n’était encore qu’un minuscule programme de télévision locale que je réalisais tout seul dans mon petit bureau de 30 cm² à Angers. Après la fermeture de cette chaîne de télé, j’étais au chômage et je m’emmerdais un peu. Du coup, j’ai proposé à mon camarade Cyril Rolland de m’aider à poursuivre le Ciné-club de M. Bobine, cette fois sur YouTube. Depuis, on a fait une centaine de vidéo, on approche tranquillement les 100 000 abonnés et surtout, nous sommes devenus un véritable collectif dont les membres sont presque tous présents ce soir : Aurélien Noyer, Lucas Mario, Yoan Orszulik, Aurélien Gouriou-Valès et Anaïs Verley qui est avec nous dans le chat en tant que modératrice ! Vous le savez sûrement si vous nous suivez depuis nos débuts : il y a un film en particulier qui a eu une influence majeure sur la chaîne : Mad Max : Fury Road. Sorti en 2015 le film nous a laissé dans un tel état de sidération Cyril et moi, qu’on a ressenti le besoin immédiat d’en faire une vidéo. Mais cette vidéo, vous ne la trouverez pas sur notre chaîne. Et oui, à l’époque notre camarade Pierre Delorme travaillait à FilmsActu comme rédacteur et nous a proposé de la sur la chaîne YouTube du site qui comptabilisait alors 2 millions d’abonnés et du coup, ça nous a fait une sacrée publicité. C’est donc un peu grâce à Fury Road (et surtout à Pierre Delorme) que notre chaîne a commencé à percer ! Cette année, George Miller nous a fait sans le savoir le plus beau des cadeaux pour notre 10eme anniversaire en sortant la préquelle tant attendue de Fury Road : Furiosa. Comme son prédécesseur, ce nouvel opus de la saga Mad Max ne nous a pas laissé indifférent, loin de là, et donc pour démarrer ce live, on va prendre une bonne heure pour parler en long en large et en travers de ce Furiosa. Ensuite dans la seconde partie, on va parler du Ciné-club de M. Bobine, de l’évolution de notre collectif, des vidéos dont on est le plus fier et on répondra bien évidemment à toutes vos questions ! Avant d’embrayer sur Furiosa, je me permets juste un pas de côté vers l’actu politique bien flippante du moment. Vous l’avez peut-être vu, mais nous avons signé la tribune du Stream Populaire qui appelle à voter contre l’extrême-droite lors des législatives à venir le 30 juin et le 7 juillet. Vous avez le droit de penser que ce n’est pas notre rôle, mais depuis 10 ans, notre audience n’a cessé de grimper et du coup, on estime que c’est notre responsabilité envers vous de clarifier notre position en cette période tourmentée. 00:00 intro 03:07 Furiosa de George Miller 02:02:53 (interlude : Rebel Moon 2) 02:07:27 Le Ciné-club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! © 2024 - Le Ciné-Club de M. Bobine #cinema #furiosaamadmaxsaga #furiosa

Épisode 31 - Le vent se lève de Ken Loach, l'analyse de M. Bobine

19 juillet 2024

Comment un projet très risqué comme Le vent se lève est-il devenu le plus gros succès du cinéma indépendant irlandais ? ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Si je vous dis Ken Loach, il y a de bonnes chances que la première chose qui vous vienne à l'esprit, ce soit des images de l'Angleterre contemporaine, des histoires sérieuses sur les difficultés de la classe ouvrière britannique, des films imprégnés de réalisme social confinant parfois au misérabilisme. Dans le cas de Ken Loach, cette recherche de réalisme le pousse par exemple à faire le lien entre les conjonctures politiques, que ce soit le néo-libéralisme, les politiques d'austérité ou l'uberisation du travail, et les conditions de vie de la classe ouvrière. C'est cette logique qu'on retrouve à l'œuvre dans des films comme Riff-Raff en 1991, My Name is Joe en 1998 ou plus récemment Moi, Daniel Blake en 2016 et Sorry We Missed You en 2019. Pourtant, il serait injuste d'oublier au tournant des années 90 et 2000, Ken Loach a parfois délaissé le drame social pour s'essayer à un genre pour le moins ambitieux : la fresque historique. En particulier, il s'est intéressé à deux événements majeurs du XXe siècle… mais pas n'importe lesquels. Deux événements qui ont influencé le destin du monde et illustré les espoirs et les désillusions de la gauche : la guerre d'Espagne avec Land and Freedom en 1995 et la guerre d'indépendance irlandaise avec The Wind That Shakes The Barley, à savoir Le vent se lève en version française, en 2006. Quoiqu'il en soit, aujourd'hui, on va voir comment, avec Le Vent Se Lève, Ken Loach a parfaitement réussi à concilier le caractère tragique et épique nécessaire pour raconter un tel événement avec ses convictions politiques d'artiste engagé. Le vent se lève de Ken Loach : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Thibault Étienne, Aurélien Noyer Le vent se lève : Réalisé par Ken Loach Avec Cillian Murphy, Pádraic Delaney, Liam Cunningham Genre : fresque historique © 2024 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #cinéma #kenLoach #leventseleve

Épisode 32 - Aquaman et le Royaume perdu : James Wan est-il le nouveau Stephen Sommers ?

30 août 2024

Pourquoi Aquaman et le Royaume perdu m'a fait penser au Retour de la momie de Stephen Sommers ★ Soutenez-nous sur kisskissbankbank ► https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/le-cine-club-de-m-bobine ★ Soutenez-nous sur Patreon ► https://www.patreon.com/user?u=91323539 ★ Souscrivez à notre chaîne ► https://www.youtube.com/channel/UCMAOGbM65D7VzbVTmpKeKgQ/join ★ Abonnez-vous sur Youtube ► http://bit.ly/Mr-Bobine Si j'en crois les réactions des critiques et des vidéastes, qui Aquaman et le Royaume perdu semble faire l’unanimité contre lui. De plus, le film est largement considéré comme un échec au box-office. Même si ce n'est pas un flop retentissant, cette suite est malgré tout très loin des scores du premier Aquaman qui je vous le rappelle, est toujours le plus gros succès de feu le DCEU. En ce qui me concerne, cette réception me surprend un peu. Le film de James Wan n'est clairement pas un chef d’œuvre, cependant, cet Aquaman 2 est dans la parfaite continuité de son prédécesseur. On y trouve le même univers pulp et coloré, le même mélange d’action, d’aventure et d’humour, la même générosité, et le même côté camp parfois un tantinet ridicule, mais totalement assumé. Bref, j’ai tendance à considérer que le succès du premier Aquaman et l’échec relatif du second ne sont pas tant liés aux qualités et aux défauts des deux films, mais plutôt au contexte de leur sorties. Mais ce n’est pas vraiment ce qui va m'intéresser dans cette vidéo. Par le passé, j’ai à plusieurs reprises comparé le style débridé de James Wan à celui de Stephen Sommers. Leurs films sont généreux, parfois à l’excès, leur cinéma est très référentiel et souvent anachronique. Mais surtout, ils ont une identité propre et atypique au sein des gros studios. Ce ne sont peut-être pas des auteurs avec un A majuscule, mais ils ont un style bien à eux qui a été souvent imité mais jamais égalé. Mais est-ce suffisant pour tirer un trait d’égalité entre les deux cinéastes ? Aquaman et le Royaume perdu va donc nous permettre de répondre enfin à la question que je suis probablement le seul à me poser : James Wan est-il vraiment le nouveau Stephen Sommers ? Aquaman et le Royaume perdu : la critique / l'analyse cinéma de Monsieur Bobine Réalisation, voix, montage : Julien Pavageau Écriture, recherche : Julien Pavageau Aquaman et le Royaume perdu : Réalisé par James Wan Avec Jason Momoa, Patrick Wilson, Amber Heard Genre : science-fiction, super héros Adapté du comics Aquaman © 2024 - Le Ciné-Club de M. Bobine Abonnez-vous dès maintenant pour ne rater aucune analyse cinéma de Monsieur Bobine ! #aquaman2 #jameswan #stephensommers

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Épisode 1 - Les archives de M. Bobine : APOCALYPSE NOW

Épisode 2 - Les archives de M. Bobine : RAMBO

Épisode 3 - Les archives de M. Bobine : DIE HARD

Épisode 4 - Les archives de M. Bobine : METROPOLIS

Épisode 5 - Les archives de M. Bobine : LA MOUCHE

Épisode 6 - Les archives de M. Bobine : ALIEN

Épisode 7 - Les archives de M. Bobine : INDIANA JONES

Épisode 8 - Les archives de M. Bobine : LE SALAIRE DE LA PEUR

Épisode 9 - Les archives de M. Bobine : MAD MAX 2

Épisode 10 - Les archives de M. Bobine : AKIRA

Épisode 11 - Les archives de M. Bobine : ROBOCOP

Épisode 12 - Les archives de M. Bobine : SEVEN

Épisode 13 - Les archives de M. Bobine : STAR WARS EPISODE IV

Épisode 14 - Les archives de M. Bobine : STAR WARS EPISODE V

Épisode 15 - Les archives de M. Bobine : STAR WARS EPISODE VI

Épisode 16 - Les archives de M. Bobine : BATMAN LE DÉFI

Épisode 17 - Les archives de M. Bobine : 2001 L'ODYSSÉE DE L'ESPACE

Épisode 18 - Les archives de M. Bobine : A.I.

Épisode 19 - Les archives de M. Bobine : MATRIX - partie 2

Épisode 20 - Les archives de M. Bobine : MATRIX - partie 1

Épisode 21 - Les archives de M. Bobine : MATRIX - partie 3

Épisode 22 - Les archives de M. Bobine : TOY STORY

Épisode 23 - Les archives de M. Bobine : L'ENNEMI INTIME

Épisode 24 - Les archives de M. Bobine : BAD TASTE

Épisode 25 - Les archives de M. Bobine : SPEED RACER

Épisode 26 - Les archives de M. Bobine : ASSAUT

Épisode 27 - Les archives de M. Bobine : TITANIC

Épisode 28 - Les archives de M. Bobine : AVATAR contre la critique

Épisode 29 - Les archives de M. Bobine : LES DENTS DE LA MER

Épisode 30 - APOCALYPTO, de Mel Gibson - L'analyse de M. Bobine

Épisode 31 - JURASSIC PARK, de Steven Spielberg - L'analyse de M. Bobine

Épisode 32 - LE 13e GUERRIER, de John McTiernan - L'analyse de M. Bobine (Partie 2)

Épisode 33 - LE 13e GUERRIER, de John McTiernan - L'analyse de M. Bobine (Partie 1)

Épisode 1 - LE GÉANT DE FER, de Brad Bird - L'analyse de M. Bobine

Épisode 2 - Le cinéma de MICHAEL BAY, vu par M. Bobine (Partie 1)

Épisode 3 - Le cinéma de MICHAEL BAY, vu par M. Bobine (Partie 2)

Épisode 4 - GRAVITY, d'Alfonso Cuaron - L'analyse par M. Bobine

Épisode 5 - PACIFIC RIM, de Guillermo del Toro - L'analyse de M. Bobine

Épisode 6 - JFK, d'Oliver Stone - L'analyse de M. Bobine (Partie 1)

Épisode 7 - JFK, d'Oliver Stone - L'analyse de M. Bobine (Partie 2)

Épisode 8 - Star Wars, épisode VII : Le Réveil de la Force - La critique de M. Bobine

Épisode 1 - Le cinéma de JOE WRIGHT, vu par M. Bobine

Épisode 2 - La TRILOGIE CORNETTO, d'Edgar Wright - L'analyse de M. Bobine

Épisode 3 - FAQ : M. Bobine répond à vos questions !

Épisode 4 - Le cinéma de DON SIMPSON et JERRY BRUCKHEIMER, par M. Bobine (Partie 1)

Épisode 5 - Top Gun par Quentin Tarantino

Épisode 6 - Le cinéma de DON SIMPSON et JERRY BRUCKHEIMER, par M. Bobine (Partie 2)

Épisode 7 - AVATAR, de James Cameron - L'analyse de M. Bobine

Épisode 8 - LE LOUP GAROU DE LONDRES de John Landis, l'analyse de M. Bobine

Épisode 9 - THE IMPOSSIBLE de Juan Antonio Bayona : l'analyse de M. Bobine

Épisode 1 - LE MONDE DE NEMO d'Andrew Stanton : l'analyse de M. Bobine

Épisode 2 - M. Bobine et le HFR

Épisode 3 - CONAN LE BARBARE de John Milius : l'analyse de M. Bobine

Épisode 4 - Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban d'Alfonso Cuarón : l'analyse de M. bobine

Épisode 5 - SHIN GODZILLA de Hideaki Anno et Shinji Higuchi : l'analyse de M. Bobine

Épisode 6 - City of Life and Death de Lu chuan : l'analyse de M. Bobine

Épisode 7 - M. Bobine et le son dans l'espace

Épisode 8 - Blade Runner : Rick Deckard est-il un réplicant ?

Épisode 9 - Happy Feet de George Miller : l'analyse de M. Bobine

Épisode 10 - Les Aventures de Jack Burton dans les Griffes du Mandarin : l'analyse de M. Bobine

Épisode 11 - Steven Spielberg et le Temple maudit : L'analyse de M. Bobine

Épisode 12 - Les youtubeurs cinéma favoris de M. bobine

Épisode 1 - SNOWPIERCER de Bong Joon-ho : l'analyse de M. Bobine

Épisode 2 - WATCHMEN de Zack Snyder : l'analyse de M.Bobine

Épisode 3 - 1999, l'année Star Wars ? Par M. Bobine

Épisode 4 - Delicatessen de Caro et Jeunet : l'analyse de M. Bobine

Épisode 5 - Vampire Hunter D : Bloodlust de Kawajiri, l'analyse de M. Bobine

Épisode 6 - Les lives de M. Bobine - Ready Player One de Steven Spielberg

Épisode 7 - Les lives de M. Bobine - La Mort de Staline

Épisode 8 - Le cinéma de Sam Raimi - l'analyse de M. Bobine

Épisode 9 - La trilogie du Hobbit de Peter Jackson : l'analyse de M. Bobine

Épisode 10 - This is Spinal Tap de Rob Reiner : l'analyse de M. Bobine

Épisode 11 - Les lives de M. Bobine - La FAQ des 20 000 abonnés

Épisode 12 - Les lives de M. Bobine - Star Wars, épisode VIII : Les Derniers Jedi

Épisode 13 - House de Nobuhiko Obayashi : l'analyse de M. Bobine

Épisode 14 - Quentin Tarantino le mercenaire par M. Bobine

Épisode 15 - Quentin Tarantino et Edgar Wright parlent d'USS Alabama